Cransac | |||||
L'établissement thermal. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Aveyron | ||||
Arrondissement | Villefranche-de-Rouergue | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Decazeville Communauté | ||||
Maire Mandat |
Bernard Canac 2023-2026 |
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Code postal | 12110 | ||||
Code commune | 12083 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Cransacois | ||||
Population municipale |
1 469 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 213 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
13 696 hab. (2021) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 31′ 33″ nord, 2° 17′ 07″ est | ||||
Altitude | Min. 274 m Max. 470 m |
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Superficie | 6,91 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Decazeville (banlieue) |
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Aire d'attraction | Decazeville (commune du pôle principal) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Enne et Alzou | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
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Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
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Cransac, parfois appelée Cransac-les-Thermes, est une commune française située dans le département de l'Aveyron, en région Occitanie.
Situé dans le Bassin historique de Decazeville-Aubin, dans le Nord Aveyron. Cette région riche en houille est devenue à partir des années 1830 un des bassins houillers les plus importants du Sud de la France. Le bassin de Decazeville, bien qu'ayant beaucoup perdu d'habitants depuis 60 ans, garde son unité historique et géographique, et est devenu en 1998 une communauté de communes : celle du bassin Decazeville-Aubin, où de nombreux projets mettant en commun les cinq anciennes villes du bassin (Decazeville, Aubin, Viviez, Firmi, et Cransac) ont été mis en œuvre.
Commune de l'aire d'attraction de Decazeville située dans son unité urbaine à cinq kilomètres au sud-est de Decazeville.
Cransac est limitrophe de trois autres communes. Les communes limitrophes sont Aubin, Auzits et Firmi.
La commune est traversée par l'Enne un affluent du Riou mort.
La superficie de la commune est de 691 hectares ; son altitude varie de 274 à 470 mètres[2].
La ville possède des ressources thermales. En effet, la combustion des pyrites de fer à l'intérieur de la « montagne qui brûle » crée une sortie de vapeurs dont les effets sont bénéfiques en cas de douleurs ostéo-articulaires et de rhumatismes. De plus, la minéralisation des eaux de pluie infiltrées dans la montagne crée des sources chaudes minéralisées : les sources Fraysse, Saint-Augustin, et Geneviève, mais seule la dernière est exploitée à des fins médicales. Ces sources, qui ont été perdues dans les années 1860, coulent dans d'anciennes galeries minières.
Le Gua, Le Montet, Bezelgues, Le Fraysse, La Treille, La Rayasse.
Accès avec les routes départementales D 11 et D 53, par la ligne de Capdenac à Rodez en gare de Cransac ainsi que par la liaison Conques-Toulouse.
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Ouest et nord-ouest du Massif Central » et « Sud-est du Massif Central »0[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 972 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 6,6 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Colombiès à 20 km à vol d'oiseau[5], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 989,2 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Au , Cransac est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Decazeville, une agglomération intra-départementale dont elle est une commune de la banlieue[10],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Decazeville, dont elle est une commune du pôle principal[Note 1],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].
Cransac est situé dans l'étroite vallée de l'Enne, recouvert sur la majorité de son parcours, et à proximité d'Aubin. Ces deux villes sont tellement proches que le bâti reste continu entre ces deux villes. Cela n'a pas toujours été le cas, et jusqu'au milieu du XIXe siècle, Cransac, tout comme Aubin étaient de petits villages. L'arrivée de la mine, très gourmande en main d’œuvre, a été pour beaucoup dans le peuplement très rapide de Cransac et dans la densification de l'espace bâti.
L'habitat se présente donc, comme dans de nombreuses villes ouvrières, sous la forme d'un village-rue : des immeubles bâtis de façon continue le long d'une rue (la rue Anatole-France), à proximité du lieu de travail ; derrière ses immeubles est traditionnellement situé un petit jardin potager. Mais la déprise démographique suite de la fermeture des mines en 1963 a transformé ces rues bouillonnantes de vie en un espace calme.
Cransac était déjà réputé à l’époque romaine pour les vertus de ses eaux[13]. Il semble que l'usage des eaux thermales soit resté libre jusqu'au XVIIe siècle, époque à laquelle les sources ont été rachetées par les notables du village qui y bâtissent des pavillons pour accueillir les curistes[14].
Henri de Boulainvilliers, écrivain prolifique et encyclopédiste du XVIIIe siècle, va décrire un état de la France dans plusieurs ouvrages et au sujet de Cransac, voici ce qu'il rapporte[15]:
" Il y a dans le même lieu de Cransac deux fontaines d'eaux minérales que l'on tient des meilleures d'Europe. Elles attirent en ce lieu quantité de malades dans les deux saisons de May et Septembre et on les transporte dans les lieux éloignés, même jusqu'à Paris. Leur principal effet est de rétablir les estomacs faibles et languissants, les obstructions et de soulager les douleurs néphrétiques. Au-dessus de ces fontaines, il y a des grottes ou étuves où les malades se font suer pour guérir les rhumatismes, sciatiques, gouttes et paralysies, et rétablir les membres blessés ou affaiblis. La vertu de ces eaux consiste dans l'alun dont elles sont imprégnées ... Il faut ajouter que ces eaux minérales sortent de la montagne dans laquelle on a pratiqué les étuves dont il vient d'être parlé et que cette montagne renferme un feu intérieur qui exhale ordinairement en fumée, mais qui jette assez souvent des flammes considérables. La superficie du terrain y est toute brûlée, marque certaine que le feu n'en est pas profond, aussi ne s'y plaint-on guère des tremblements de terre si fréquents dans le voisinage des autres volcans."
Les trois principales sources de l'époque étaient les sources Basse-Richard, Haute-Richard, et Belzègues. La source Haute-Richard était la plus minéralisée et se situait dans le hameau de la Pélonie. Les autres sources coulaient dans le parc thermal de l'époque, devenu aujourd'hui le bassin de Passelaygues, ayant été transformé en mine à ciel ouvert pendant la période minière. Ces sources étaient utilisées afin de soigner des maladies aujourd'hui marginales comme le paludisme ou les maladies du foie.
Les gisements de vapeur à la sortie de la montagne qui brûle étaient eux aussi exploités. Une cabane en bois appelée étuve était bâtie à l'émergence des vapeurs. Les curistes s'y asseyaient au-dessus, nus, durant une vingtaine de minutes. À la sortie, un personnel soignant les attendait et les couvrait de vêtements chauds afin de leur éviter un choc thermique.
Les hôtels accueillant les curistes appartenaient aux propriétaires des sources thermales. On comptait cinq hôtels en 1848 à l'apogée du thermalisme à Cransac : l'hôtel Saint-Charles, l'hôtel Rocques, l'hôtel Sahut, et le Château. Ces hôtels, pour la plupart situés sur la partie haute, le Cransac originel, sont soit abandonnés, ou bien abritent des logements pour des particuliers. L'hôtel Saint-Charles est aujourd'hui en restauration.
L'apogée du Cransac thermal, qui accueillait près de 5 000 curistes par an début du XIXe siècle[16] va prendre fin dès lors que les compagnies minières vont s'intéresser à Cransac. La houille est en effet une ressource traditionnelle dans le bassin de Decazeville. Les charbonnières, mines creusées de façon artisanale, ont alimenté en combustible des générations de forgerons cransacrois. Mais la révolution industrielle et ses besoins astronomiques en charbon vont faire de Cransac un des bassins houillers les plus importants du Sud de la France. Ainsi, avec la révolution industrielle, Cransac-les-Eaux devient Cransac-les-Mines, et son sous-sol est partagé entre la compagnie d'Orléans et la compagnie de Campagnac, qui seront réunies en 1947 avec la nationalisation des compagnies minières.
Le village qui comptait alors 500 habitants en 1848, va en compter jusqu'à 7 000 au début du XXe siècle. Ainsi, le puits no 1, organe central de l'industrie houillère, va devenir le centre du village autour duquel l'habitat va se développer. Les sources thermales vont se perdre à cause de travaux dans les galeries, et seules vont subsister les étuves qui donneront à Cransac le surnom de ville thermale sans eaux.
Une terrible catastrophe eut lieu le 3 novembre 1888 aux mines de Campagnac, dans le puits Sainte-Barbe. Un coup de grisou fit une cinquantaine de victimes[17],[18].
En 1914, la Compagnie des mines de Courrières évacue ses Mineurs westphaliens vers le Massif central et 80 Westphaliens d'origine polonaise, famille incluse, venus des mines du Nord, arrivent à Cransac, avec parmi eux le leader syndical Thomas Olszanski, qui fondera dans les années 1920 à Lens le journal en polonais Robotnik Polski.
À partir des années 1950, le charbon subit une crise en France, et les bassins isolés des grands axes industriels, comme celui de Decazeville, vont être les premiers à fermer. Ainsi, les mines de Cransac ferment en 1963, accélérant l'exode des mineurs. Mais la fermeture des mines va avoir néanmoins un effet positif : les anciennes sources vont réapparaitre à la sortie des galeries minières. La mairie va de même se lancer dans une politique de démolition des friches et de remise en valeur du patrimoine thermal. Les anciennes étuves en bois, rudimentaires, sont rasées, et un centre thermal captant les gaz du haut de la montagne est bâti en contrebas, permettant aux curistes d'avoir accès à des soins plus variés et dans des normes d'hygiène moderne.
Le complexe industriel du puits no 1 va lui aussi être rasé et reconverti en un parc agréable. Seule subsiste aujourd'hui la salle des machines, reconvertie en salle des fêtes. Un travail sur la rénovation du bâti résidentiel a aussi été réalisé, bien que de nombreux logements restent à l'abandon. Les sources thermales mettront beaucoup plus de temps à être exploitées : la source Geneviève n'est exploitée commercialement que depuis 2010.
Ainsi, grâce aux efforts d'une génération, la ville a pu effacer les traces de la mine et se relancer dans l'accueil des curistes.
Le nombre d'habitants au recensement de 2017 étant compris entre 1 500 habitants et 2 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2020 est de dix neuf[19],[20].
Commune faisant partie de la communauté de communes Decazeville Communauté et du canton d'Enne et Alzou (avant le redécoupage départemental de 2014, Cransac faisait partie de l'ex-canton d'Aubin) et avant le 1er janvier 2017 elle faisait partie de la communauté de communes du Bassin de Decazeville Aubin.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[25].
En 2021, la commune comptait 1 469 habitants[Note 2], en évolution de −4,42 % par rapport à 2015 (Aveyron : +0,17 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 777 ménages fiscaux[Note 3], regroupant 1 405 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 17 680 €[I 2] (20 640 € dans le département[I 3]).
Division | 2008 | 2013 | 2018 |
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Commune[I 4] | 9,9 % | 11,4 % | 12,2 % |
Département[I 5] | 5,4 % | 7,1 % | 7,1 % |
France entière[I 6] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 834 personnes, parmi lesquelles on compte 65,3 % d'actifs (53,1 % ayant un emploi et 12,2 % de chômeurs) et 34,7 % d'inactifs[Note 4],[I 4]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie du pôle principal de l'aire d'attraction de Decazeville[Carte 1],[I 7]. Elle compte 339 emplois en 2018, contre 375 en 2013 et 318 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 457, soit un indicateur de concentration d'emploi de 74,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 43 %[I 8].
Sur ces 457 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 127 travaillent dans la commune, soit 28 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 86,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,2 % les transports en commun, 7,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].
90 établissements[Note 5] sont implantés à Cransac au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 6],[I 11].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 90 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres |
8 | 8,9 % | (17,7 %) |
Construction | 18 | 20 % | (13 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration |
30 | 33,3 % | (27,5 %) |
Information et communication | 1 | 1,1 % | (1,5 %) |
Activités financières et d'assurance | 2 | 2,2 % | (3,4 %) |
Activités immobilières | 4 | 4,4 % | (4,2 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien |
7 | 7,8 % | (12,4 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale |
10 | 11,1 % | (12,7 %) |
Autres activités de services | 10 | 11,1 % | (7,8 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 33,3 % du nombre total d'établissements de la commune (30 sur les 90 entreprises implantées à Cransac), contre 27,5 % au niveau départemental[I 12].
Les deux entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[28] :
De récents progrès ont été enregistrés dans le domaine du thermalisme, bien que Cransac demeure une ville thermale secondaire. En 1996, la Chaîne thermale du Soleil rachète les thermes de Cransac. En 2003, un nouveau centre thermal est bâti. Il offre, outre une gamme de soins plus variée, la possibilité de loger sur place, dans le "Logis des Boisements". L'établissement est spécialisé dans le traitement des rhumatismes et des douleurs ostéo-articulaires.
En matière d'hébergements thermaux, la déprise démographique a permis la libération et la remise aux normes de nombreux logements aujourd'hui loués aux curistes par des particuliers.
Cransac dispose en matière de commerces tous les services courants, ainsi que des services pratiques aux curistes (ambulance-taxi). L'offre en loisirs est de même diversifiée, avec de nombreux sites à visiter aux alentours, bien que la plupart des curistes apprécient le calme du village.
En matière d'accessibilité, Cransac est éloigné des réseaux autoroutiers, mais accessible en train via la ligne Capdenac - Rodez. Une ligne de bus : le TUB dessert depuis 2004 à heures régulières les cinq communes du bassin. Elle fait un crochet par les thermes pour transporter les curistes.
En matière de développement durable, Cransac a inauguré son réseau de chaleur biomasse - alimenté par des noyaux de fruits - le 3 avril 2009[29]. Cette centrale permettra bientôt de chauffer un lotissement en construction : le Belvédère de la Vaysse, surplombant la vallée.
SIFTT Katar véhicule tout-terrain conçu sur la commune.
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
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Exploitations | 21 | 7 | 3 | 4 |
SAU[Note 7] (ha) | 200 | 221 | 197 | 235 |
La commune est dans la « Viadène et vallée du Lot », une petite région agricole occupant le nord-ouest du département de l'Aveyron[30]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 8] sur la commune est l'élevage de bovins, pour la viande[Carte 2]. Quatre exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 9] (21 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 235 ha[32],[Carte 3],[Carte 4].
Cransac fait partie de l'académie de Toulouse.
La vie du village est tournée autour de la place centrale : la place Jean-Jaurès, sur laquelle a lieu un marché hebdomadaire et de nombreuses autres animations. À la fin du XIXe siècle, l'ancienne église, trop petite pour accueillir les mineurs a été démolie et remplacée par un édifice plus grand. Cransac offre à ses habitants et visiteurs deux parcs agréables : le parc thermal, ancien site du puits n°1, reconverti en parc dans les années 1970 ; et le bassin de Passelaygues, ancienne mine à ciel ouvert aujourd'hui remplie d'eau.
Aveyronnaise Classic, cynodrome, quilles de huit, club hippique, pétanque...
Blason | D’azur au volcan de sable enneigé d’argent d’où s'écoule une lave de gueules et d’où s’échappent des fumées d’argent. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
L'action du roman Duo (1934) de Colette se déroule à Cransac.
Le compositeur Émile Goué s'inspira de Cransac dans son triptyque Pénombres (1931)