In 1838, Edward Robinson noted el-Burj as a place "in ruins or deserted," part of the area between the mountains and Gaza, but subject to the government of el-Khulil.[5] Robinson further noted: "The ruins here consists of the remains of a square fortress, about two hundred feet on a side, situated directly upon the surface the projecting hill [..] On the eastern and southern sides a trench has been hewn out in the rock, which sees to have extended quite around the fortress. The walls are mostly broken down [..] the general appearance of the ruin is decidedly that of a Saracenic structure; and I am disposed to regard it as one of the line of strong Saracenic or Turkish fortresses, which appears once to have been drawn along the southern frontier of Palestine. Of these we had now listed four, viz. at Kurmul, Semua, Dhoheriyeh, and this at el-Burj".[6]
In 1863 Victor Guérin called the place Khirbet el-Bordj and noted a maqam, shaped like a tower and dedicated to a Sheikh Mahmoud. He also noted "several caves, some of which are used today as refuge for the shepherds, when they come to graze their herds on this mountain."[7]
In 1883, the PEF's Survey of Palestine described the place, which they called Burj el Beiyarah: "Remains of a fort 200 feet side, with a fosse on the east and south, hewn in rock. Foundations only remain of small masonry, with the joints packed with smaller stones. Round it are caves in the rocks."[8]
On 25 February 1953, five Arab shepherds were killed and mutilated by Israel in the so called The Har-Zion Affair at al-Burj, including a 16-year-old.[10]
^Guérin, 1869, pp. 358-359: "A cinq heures quarante minutes, nous parvenons à un oualy consacré au Cheikh Mahmoud. Bâti avec des matériaux antiques, dont quelques-uns sont taillés en bossage, ce sanctuaire musulman affecte la forme d'une petite tour carrée. Non loin de là est un birket, long de vingt pas et large de douze. Il est en partie creusé dans le roc et en partie entouré d'un mur d'un mètre d'épaisseur, que revêt intérieurement un excellent ciment. Un escalier placé à l'un des angles permet d'y descendre. Ce réservoir, parfaitement conservvé, reçoit, pendant l'hiver, les eaux pluviales qui coulent le long des flancs rocheux de la montagne.
En continuant mon ascension, j'arrive à un bordj ou citadelle, qui mesure soixante-quatre pas de long sur cinquante et un de large. Fondé sur le roc, à cent mètres au moins an-dessus de la vallée qu'il commande, il est construit avec de gros blocs assez régulièrement taillés. Dans l'intérieur de l'enceinte qu'il circonscrit il y a une seconde enceinte, beaucoup plus mal bâtie et évidemment plus moderne.
Autour de ce bordj, actuellement abandonné, règne un fossé creusé dans le roc vif, et les parois rocheuses qui constituent la contrescarpe sont percées de plusieurs cavernes, dont quelques-unes servent aujourd'hui de refuge aux bergers, quand ils viennent faire paître leurs troupeaux sur cette montagne.
Des silos pratiqués dans le roc ct un certain nombre d'habitations renversées avoisinent également cette citadelle, dont l'origine est probablement antique, mais qui a dû subir des remaniements, soit au temps des croisades, soit à une époque plus récente encore."