Als er sich im August 1749 auf der von ihm so genannten Insel Senegal aufhielt, besuchte er wiederholt die benachbarte Insel Sor, um dort zu jagen; allein vergaß er das Jagen, als er an einem Tag einen Baum von ungewöhnlicher Größe erblickte. Es war der erste Affenbrotbaum, den er auf seiner Reise fand. Er hatte zwar keine außerordentliche Höhe, aber sein Stamm war ungeheuer dick und hatte einen Stammumfang von 65 Fuß. Adanson erfuhr, dass die einheimischen Wolof diese Art von Baum Goui nannten. Er wunderte sich, noch in keiner Reisebeschreibung über diese doch sehr ins Auge fallende Baumart etwas gelesen zu haben und unternahm es in der Folge, diese wissenschaftlich zu beschreiben, zumal sie, wie er fand, im ganzen Land verbreitet war.[1][2]
Adanson publizierte seine Beobachtungen 1757 in der Histoire naturelle du Sénégal.
Adanson starb in ärmlichen Verhältnissen und fand seine letzte Ruhestätte auf dem Friedhof Père-Lachaise (Division 23).
Nach ihm wurde die Pflanzengattung der Affenbrotbäume (AdansoniaL.) aus der Familie der Malvengewächse (Malvaceae) benannt.[5] Ebenso ist die Zeitschrift Adansonia (1860 bis 1879 sowie ab 1961 erschienen) zu seinen Ehren benannt worden. Im Jardin des plantes in Paris wurde zu seinem Andenken 1856 eine Marmorstatue aufgestellt.
Histoire naturelle du Sénégal. Coquillages. Avec la relation abrégée d’un voyage fait en ce pays pendant les années 1749, 50, 51, 52 et 53. Paris 1757 (Digitalisat).
A voyage to Senegal, the Isle of Goree, and the river Gambia. London 1759 (Digitalisat).
Familles des plantes. 2 Bände, Paris 1763[–1764] (Digitalisat).
2. Auflage: Histoire de la botanique et plan des familles naturelles des plantes. Paris 1864 (Digitalisat) – posthum herausgegeben von Alexandre Adanson und Jean-Baptiste Payer.
Zeitschriftenbeiträge
Latitude de Podor, tirée par la Méridienne. In: Mémoires de mathématique et de physique, présentés à l’Académie royale des sciences, par divers sçavans, & lûs dans ses assemblées. Band 2, Paris 1755, S. 605–606 (Digitalisat).
Description d’une nouvelle espece de Ver qui ronge les bois & les vaisseaux, observée au Sénégal. In: Histoire de l’Académie royale des sciences Année MDCCLIX. Avec les mémoires de mathématique et de physique. Paris 1765, S. 249–279 (Digitalisat, PDF).
Description d’un arbre d’un nouveau genre, appelé Baobab, observé au Sénégal. In: Histoire de l’Académie royale des sciences Année MDCCLXI. Avec les mémoires de mathématique et de physique. Paris 1763, S. 218–243 (Digitalisat, PDF)
Remarques fur les Blés appellés Blés de Miracle: Et découverte d’un Orge de Miracle. In: Histoire de l’Académie royale des sciences Année MDCCLXV. Avec les mémoires de mathématique et de physique. Paris 1768, S. 613–619 (Digitalisat, PDF).
Mémoire sur un mouvement particulier découvert dans une Plante appellée Tremella. In: Histoire de l’Académie royale des sciences Année MDCCLXVII. Avec les mémoires de mathématique et de physique. Paris 1770, S. 564–572 (Digitalisat, PDF).
Examen de la Question files Especes changent parmi les Plantes; Nouvelles Expériences tentées à ce sujet. In: Histoire de l’Académie royale des sciences Année MDCCLXIX. Avec les mémoires de mathématique et de physique. Paris 1772, S. 31–48 (Digitalisat, PDF).
Sur l’acacia des Anciens, & Sur quelques autres arbres du Sénégal qui portent la gomme rougeâtre, appelée communément gomme arabique. In: Histoire de l’Académie royale des sciences Année MDCCLXXIII. Avec les mémoires de mathématique et de physique. Paris 1777, S. 1–17 (Digitalisat, PDF).
Sur le gommier blanc, appelé Uerek au Sénégal; sur la maniere dont on fait la récolte de sa gomme, & de celle des acacias; & sur un autre arbre du même genre. In: Histoire de l’Académie royale des sciences Année MDCCLXXVIII. Avec les mémoires de mathématique et de physique. Paris 1781, S. 20–35 (Digitalisat, PDF).
Extrait des Observations météorologiques, faites à la campagne près de Paris, pendant les froids de Janvier 1767; avec des Remarques sur la caufe des inégalités des obfervations au thermomètre, & sur l’effet du froid sur les animaux, fur les blés, & sur les plantes potagères. In: Histoire de l’Académie royale des sciences Année MDCCLXXVIII. Avec les mémoires de mathématique et de physique. Paris 1781, S. 425–432 (Digitalisat, PDF).
Plan de botanique. In: Collection académique. Band 8, Anhang, Paris 1770, S. 59–61 (Digitalisat).
Georges Cuvier: Éloge historique de Michel Adanson […] le 5 janvier 1807. In: Mémoires de la classe des sciences mathématiques et physiques de l’Institut National de France. Premier semestre 1807. Paris 1807, S. 159–188 (Digitalisat).
Michel Guédès: La méthode taxonomique d’Adanson. In: Revue d’histoire des sciences et de leurs applications. Band 20, Nr. 4, 1967, S. 361–386 (doi:10.3406/rhs.1967.2543).
George H. M. Lawrence (Hrsg.): Adanson. The Bicentennial of Michel Adanson’s «Familles des Plantes». 2 Teile, Hunt Botanical Library, Pittsburgh 1963–1964 (Teil 1, Teil 2).
↑Lotte Burkhardt: Verzeichnis eponymischer Pflanzennamen. Erweiterte Edition. Botanic Garden and Botanical Museum Berlin, Freie Universität Berlin, Berlin 2018. [1]