Reçue au diplôme technique de bibliothécaire en 1948[1], historienne de formation (mémoire de DES soutenu en 1954 à Bordeaux intitulé Le peuplement et la vie rurale du Bazadais jusqu'à la Guerre de Cent Ans[2]), elle devient bibliothécaire à l'Université de Paris[3]. Elle est mutée à Bordeaux en tant que responsable de la section droit-sciences économiques de la Bibliothèque interuniversitaire de Bordeaux[4]. Elle devient conservateur en chef[5] et directrice de la Bibliothèque interuniversitaire de Bordeaux de 1974 à 1991[6].
« Les fonds anciens de la bibliothèque inter-universitaire de Bordeaux », Revue française d'histoire du livre, vol. 5 (nouvelle série), nos 10-12, , p. 247-249
Vie de saint Gérard de Corbie, fondateur de l'Abbaye de la Sauve-Majeure en Entre-Deux-Mers, écrite au XIIe siècle par un moine anonyme de l'abbaye (trad. du latin par Élisabeth Traissac), Branne, Comité de Liaison Entre-Deux-Mers - Association historique des Pays de Branne, coll. « Archives et chroniques de l'Entre-Deux-Mers », , 71 p. (SUDOC133561631)
↑Élisabeth Traissac : candidate au diplôme technique de bibliothécaire, sessions de novembre 1947 et novembre 1948 ; arrêté lui conférant le diplôme technique de bibliothécaire, 10 décembre 1948, Manuscrits et archives de la Bibliothèque interuniversitaire de la Sorbonne (Paris), (présentation en ligne)
↑Jacques Clémens et Charles Higounet, « Une bastide avortée : La Bourgade », Annales du Midi, vol. 89, no 133, , p. 245–251 (DOI10.3406/anami.1977.1682, lire en ligne, consulté le )
↑« Société française d'archéologie. Conseil d'administration [Séance du 15 mai 1959. Présidence de M. Marcel Aubert] », Bulletin Monumental, vol. 117, no 4, , p. 309–315 (lire en ligne, consulté le )
↑Marc Malherbe, La faculté de droit de Bordeaux (1870 - 1970), Talence, Presses universitaires de Bordeaux, , 489 p. (ISBN2-86781-163-5, SUDOC003850439), p. 193