L'agriculture de l'Italie représente, en 2020, 1,99 % du PIB italien[1].
L'agriculture est développée en Italie dès l'Antiquité : viticulture, olives, céréales, élevage...
L'Italie a produit en 2018:
En plus des productions inférieures d'autres produits agricoles: poivre, cerise, aubergine, noisette, citron, flocons d'avoine, laitue, chicorée, chou, oignon, prunes, sorgo, épinard, fraise, tournesol, haricot etc. [3]
Les principales productions agricoles du pays sont le maïs, avec 10,6 millions de tonnes ; la viticulture, avec 9,3 millions de tonnes ; et le riz. L'Italie est ainsi le premier producteur de vin au monde en 2015[4] et le premier producteur européen de riz.
D'après le recensement agricole de 2000, le pays compte 2,6 millions d'exploitations agricoles, alors qu'il en comptait 3 millions en 1990, le tout sur 19,6 millions d'hectares cultivés. 94,7 % de ces exploitations sont exploitées de manière familiale avec des exploitations de 5 hectares de moyenne. 31 % de la surface cultivée est allouée à la céréaliculture, 8,2 % à l'exploitation de l'olive, 5,4 % à la viticulture, 4,8 % aux agrumes dont 1 % au citron, 2,4 % à l'horticulture et 1,8 % à la betterave à sucre. 25 % de ces surfaces sont allouées à la pâture, et 11 % aux fourrages.
Le cheptel italien comprend 6 millions de bovins, 8,6 millions de porcs, 6,8 millions de moutons et de 0,9 million de chèvres.
La surface moyenne des exploitations est estimée à 8 hectares en moyenne.
La production de tomate souffre des sécheresses. La récolte 2020 est en baisse de 35% par rapport à celle de 2019[2].