Le réseau hydrographique de la commune se compose d'un seul cours d'eau référencé : la Seine, fleuve long de 774,76 km[6]. Sa longueur totale sur la commune est de 1,69 km[7].
Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[8].
La commune fait partie du SAGE « Nappe de Beauce et milieux aquatiques associés », approuvé le . Le territoire de ce SAGE couvre deux régions, six départements et compte 681 communes, pour une superficie de 9 722 km2[9]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le Syndicat mixte du pays Beauce Gâtinais en Pithiverais, qualifié de « structure porteuse »[10].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 710 mm, avec 11,1 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[11]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Fontainebleau à 2 km à vol d'oiseau[13], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 740,1 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].
Statistiques 1991-2020 et records FONTAINEBLEAU_SAPC (77) - alt : 84m, lat : 48°24'21"N, lon : 2°40'42"E Records établis sur la période du 01-04-1989 au 03-12-2023
La réserve de biosphère « Fontainebleau et Gâtinais », zone centrale et zone de transition, est un espace protégé créé en 1998 et d'une superficie totale de 150 544 ha (46 056 ha pour la zone centrale). Cette réserve de biosphère, d'une grande biodiversité, comprend trois grands ensembles : une grande moitié ouest à dominante agricole, l’emblématique forêt de Fontainebleau au centre, et le Val de Seine à l’est. La structure de coordination est l'Association de la Réserve de biosphère de Fontainebleau et du Gâtinais, qui comprend un conseil scientifique et un Conseil Éducation, unique parmi les Réserves de biosphère françaises[18],[19],[20].
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[21].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune, tant au titre de la « directive Habitats » que de la « directive Oiseaux » :le « Massif de Fontainebleau »[22]. Cet espace constitue le plus ancien exemple français de protection de la nature. Les alignements de buttes gréseuses alternent avec les vallées sèches. Les conditions de sols, d'humidité et d'expositions sont très variées. La forêt de Fontainebleau est réputée pour sa remarquable biodiversité animale et végétale. Ainsi, elle abrite la faune d'arthropodes la plus riche d'Europe (3 300 espèces de coléoptères, 1 200 de lépidoptères) ainsi qu'une soixantaine d'espèces végétales protégées[23].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal d'Avon comprend une ZNIEFF de type 1[Note 3],[24],
le « Massif de Fontainebleau » (20 711,14 ha), couvrant 18 communes dont 17 en Seine-et-Marne et 1 dans l'Essonne[25]
, et un ZNIEFF de type 2[Note 4],[24],
la « vallée de la Seine entre Melun et Champagne-sur-Seine » (1 062,65 ha), couvrant 15 communes du département[26].
Au , Avon est catégorisée centre urbain intermédiaire, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[27].
Elle appartient à l'unité urbaine de Fontainebleau[Note 5], une agglomération intra-départementale regroupant cinq communes, dont elle est ville-centre[Note 6],[28],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 7],[I 1]. Cette aire regroupe 1 929 communes[29],[30].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (65,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (64,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
zones urbanisées (61,97 %),
forêts (31,56 %),
zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,17 %),
eaux continentales[Note 8] (2,96 %),
espaces verts artificialisés, non agricoles (0,33 %)[31].
Territoires artificialisés (zones urbanisées, zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication, mines, décharges et chantiers, espaces verts artificialisés ou non agricoles)
247,31 ha
64,82 %
249,80 ha
65,48 %
2,50 ha
Territoires agricoles (terres arables, cultures permanentes, prairies, zones agricoles hétérogènes)
0,00 ha
0,00 %
0,00 ha
0,00 %
0 ha
Forêts et milieux semi-naturels (forêts, milieux à végétation arbustive et/ou herbacée, espaces ouverts sans ou avec peu de végétation)
122,91 ha
32,22 %
120,41 ha
31,56 %
−2,50 ha
Surfaces en eau (eaux continentales, eaux maritimes)
11,30 ha
2,96 %
11,30 ha
2,96 %
0 ha
Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[32],[33],[34]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Fontainebleau et sa région, approuvé le et porté par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) de Fontainebleau et sa région[35].
La commune, en 2019, avait engagé l'élaboration d'un plan local d'urbanisme[36]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le géoportail de l'urbanisme[Carte 3].
Avon est divisé en plusieurs quartiers et résidences : Bellefontaine, Changis, La Butte Montceau, la Cave Coinard, les Basses Loges, le Prieuré, les Fougères, les Terrasses et Valvins.
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Avon en 2018 en comparaison avec celle de Seine-et-Marne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (2,9 %) égale à celle du département (2,9 %) mais substantiellement inférieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 53,4 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement ( 55,2 % en 2013), contre 61,8 % pour la Seine-et-Marne et 57,5 pour la France entière [I 4].
En 2008, la ville compte 822 logements sociaux (12,6 % des résidences principales), nombre réduit à 799 en 2018 (12,0 %)[I 4].
Avon est mentionnée en tant que paroisse dès 839[40] dans une charte de Louis le Pieux.
Formant avec Fontainebleau une agglomération entourée par la forêt, l'histoire des deux villes fut souvent liée, mais les historiens considéraient Avon comme antérieur à sa voisine, jusqu'en 2012 où furent mis au jour sous une des places du château un village gaulois datant d'entre trente et deux-cent-cinquante ans avant J.-C.[41].
La gare d'Avon-Fontainebleau ouvrit en 1846, le viaduc fut inauguré par le futur Napoléon III en septembre 1849[42].
De 1885 à 1890, un train routier à vapeur de marque américaine « Scotte »[43] circulait entre la gare et le château, sans réellement donner satisfaction. Il fut remplacé de 1896 à 1953 par un tramway[44].
En 1943 et 1944, Rémy Dumoncel, maire de la ville, ainsi que plusieurs habitants[45], furent arrêtés par l'occupant pour des faits de résistance active et moururent en déportation.
Lors du second tour des élections municipales de 2014 en Seine-et-Marne, la liste DVD menée par Marie-Charlotte Nouhaud obtient la majorité des suffrages exprimés, avec 1 991 voix (40,04 %, 24 conseillers municipaux élus dont 9 communautaires), battant de 58 voix celle DVG menée par le maire sortant Jean-Pierre Le Poulain (1 933 voix, 38,87 %, 6 conseillers municipaux élus dont 2 communautaires).
La troisième liste PS-PCF-EELV menée par Dimitri Bandini a obtenu 1 048 voix (21,07 %, 3 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire).
Lors de ce scrutin, 44,46 % des électeurs se sont abstenus[47].
Lors du second tour des élections municipales de 2020 en Seine-et-Marne[48], la liste LR menée par la maire sortante obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 1 953 voix (60,22 %, 27 conseillers municipaux élus dont 9 communautaires), devançant très largement celle DVG menée par Dimitri Bandini — qui bénéficiait de la fusion des listes du 1er tour menées par Yann Moreau (EELV) et Amina Bacar (DVG) —, qui a obtenu 1 290 voix, 39,77 %, 6 conseillers municipaux élus dont 2 communautaires) Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 60,71 % des électeurs se sont abstenus[49],[50].
L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [59],[60].
En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune d'Avon est assurée par la communauté d'agglomération du Pays de Fontainebleau (CAPF) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [61],[62],[63].
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[64]. La communauté d'agglomération du Pays de Fontainebleau (CAPF) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations. Cette prestation est déléguée à une entreprise privée , dont le contrat arrive à échéance le 31 décembre 2021[61],[65],[66].
Les nappes de Beauce et du Champigny sont classées en zone de répartition des eaux (ZRE), signifiant un déséquilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce déséquilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualité en permanence sur le territoire du département, le troisième Plan départemental de l’eau signé, le , contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sécurisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. À cette fin a été préparé et publié en décembre 2020 un schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont définis. La commune fait partie du secteur Bière[68].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[69],[Note 10].
En 2021, la commune comptait 13 660 habitants[Note 11], en évolution de −1,96 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Chaque dernier dimanche d'août[71], il est de coutume de fêter la Saint-Fiacre en hommage au patron des jardiniers. Un cortège décoré de fruits, de légumes et de fleurs défile habituellement dans les rues, jusqu'à la statue rue de la République.
En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 3 906, occupant 5 738 actifs résidants.
Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 65,7 % contre un taux de chômage de 9,7 %.
Les 24,5 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 11,2 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 6,5 % de retraités ou préretraités et 6,8 % pour les autres inactifs[73].
En 2017, le nombre d'établissements actifs était de 313 dont 11 dans l’industrie, 38 dans la construction, 218 dans le commerce-transports-services divers et 46 étaient relatifs au secteur administratif[74].
C'est l'ancien hôpital du château de Fontainebleau fondé par Anne d'Autriche. Il devient, après la Révolution, un petit séminaire puis la maison des rédemptoristes[réf. souhaitée]. Depuis 1920, les carmes déchaux y vivent. Le bâtiment a été agrandi en 1934 pour accueillir un petit collège dirigé par le P. Jacques de Jésus. Ce nouveau bâtiment est devenu depuis les années 1970 un centre spirituel qui accueille chaque année des milliers de personnes.
Père Jacques, père Jacques de Jésus (Lucien Bunel), né en 1900 à Barentin, près de Rouen. Ordonné prêtre en 1925, devenu carme en 1931, il est nommé directeur du Petit Collège d’Avon en 1934. Pendant la Seconde Guerre mondiale, il entre en résistance et le Petit Collège sert à cacher des réfractaires et des enfants juifs. Il est arrêté en 1944, puis déporté pour aboutir finalement au camp de Mauthausen. Celui-ci est libéré le 5 mai 1945 mais épuisé, il meurt le 2 juin 1945. L’épisode de l’arrestation au Petit Collège est le sujet du film de Louis MalleAu revoir les enfants. La médaille des Justes lui est décernée par l’État d’Israël le 9 juin 1985[55]. Un procès informatif diocésain pour la canonisation du père Jacques de Jésus a été ouvert le 29 avril 1997.
Paul Mathéry, secrétaire de maire, héros de la Résistance avonnaise. En accord avec le maire Rémy Dumoncel, il a établi de faux papiers pour cacher les enfants juifs du Petit Collège des Carmes, avec la complicité du Père Jacques. Arrêté sur dénonciation par la Gestapo le , il est emprisonné et torturé à la prison de Fontainebleau avant d'être déporté à Melk, camp annexe de Mauthausen où il meurt d’épuisement à 37 ans. Il est le troisième Juste parmi les nations d'Avon[55],[82]. L'école Carnot d'Avon a été renommée école Paul-Mathéry en 2015[83],[84].
Une rue des Justes rappelle depuis 2015 la mémoire de ces trois hommes[55],[85].
Le Bienheureux P. Marie-Eugène de l'Enfant-Jésus (Henri Grialou) ancien novice au couvent des Carmes de 1922 à 1924 où il revint plusieurs fois.
Alphonse XIII, roi d'Espagne a résidé à l'Hôtel Savoy à Avon lors de son exil en France.
Katherine Mansfield écrivain d'origine néo-zélandaise, atteinte de tuberculose, est décédée en 1923 à l’institut Gurdjieff situé au prieuré d'Avon. Elle est enterrée dans le cimetière de la ville.
René Dommange (1888-1977), avocat, éditeur de musique, compositeur, député conservateur sous la Troisième République, puis soutien du maréchal Pétain pendant la Seconde Guerre mondiale et membre de la Milice française, mort le 27 mai 1977 à Avon, propriétaire du manoir de Bel-Ébat avec sa femme Lola, avocate et féministe, qu'ils ont légués à la ville[55].
Georges Gurdjieff une figure célèbre de l'ésotérisme, s'installa de 1922 à 1933 au prieuré d'Avon pour y fonder l'institut pour le développement harmonique de l'homme. Il est enterré dans le cimetière de la ville.
Lilian Thuram, joueur de football, champion du Monde en 1998 et d'Europe en 2000, a vécu au quartier des Fougères.
Carlos Schwabe artiste-peintre symboliste, est décédé à Avon en 1926.
Étienne Bézout, mathématicien, né à Nemours en 1730 et mort à Avon le 27 septembre 1783.
Le marquis Gian Rinaldo Monaldeschi, écuyer et amant de Christine de Suède, assassiné sur son ordre le 10 novembre 1657 et enterré à Fontainebleau.
Auguste Durand (1830-1909), organiste et éditeur de musique, propriétaire du manoir de Bel-Ébat, est enterré à Avon.
Jacques Durand (1865-1928), éditeur de musique, propriétaire du manoir de Bel-Ébat, est décédé et enterré à Avon.
Jules Massenet (1842-1912), compositeur français, y a possédé une maison où il a séjourné jusqu'en 1882[86].
Collectif d’historiens, Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 1, Paris, Éditions Flohic, , 1507 p. (ISBN2-84234-100-7), « Avon », p. 561–565
↑Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
↑Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
↑Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
↑Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Fontainebleau comprend deux villes-centres (Avon et Fontainebleau) et trois communes de banlieue.
↑Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
↑Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
↑Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑ a et bMarie Thérs̀e Morlet - Les Noms de personne sur le territoire de l'ancienne Gaule Tome 3: Les Noms de personne contenus dans les noms de lieux - Page 211 - (ISBN2222034272).
↑Faustine Léo, « Avon : Marie-Charlotte Nouhaud devra battre Dimitri Bandini pour garder son siège : Dimitri Bandini (SE) espère que son alliance avec les écologistes et Amina Bacar lui permettra de battre la maire sortante. Il lui faudra pour cela séduire aussi les électeurs de Béatrice Rucheton (LR) qui a finalement décidé de se retirer », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne, (lire en ligne, consulté le )« A Avon, au terme de longues tractations, le 2 e tour des élections verra donc s'affronter la maire sortante (LR) Marie-Charlotte Nouhaud et Dimitri Bandini (SE), lequel a fusionné avec les écologistes menés par Yann Moreau (9,24 %) et avec la candidate (SE) Amina Bacar (5,91 %). Tous deux sont en 5 e et 6 e positions de « Réveillons Avon », nouvelle mouture ».
↑Yoann Vallier, « Municipales à Avon. Marie-Charlotte Nouhaud réélue avec 60,22 % des voix : Face à une gauche écologiste rassemblée, la maire sortante est réélue confortablement à Avon », La République de Seine-et-Marne, (lire en ligne, consulté le )« Deux têtes de listes candidates au premier tour, Yann Moreau (EELV) et Amina Bacar (divers gauche), avaient choisi de rallier la liste du candidat pour tenter de renverser la tendance. « Je suis contente qu’arithmétique et politique ne marchent pas ensemble. La fusion des listes contre moi n’a pas fonctionné. On a bénéficié d’un bel élan, et on a prouvé que notre programme était réalisable, ce qui n’était pas le cas de celui de mon concurrent » ».
↑Yoann Vallier, « L’hommage à Pierre Pic : Le maire d’Avon entre 1971 et 1995 s’est éteint à l’âge de 90 ans. La ville lui doit de nombreux équipements, dont la Maison dans la Vallée. Ses deux successeurs témoignent », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le )« C’est en 1954 qu’il installe son cabinet comptable à Avon, et siège au conseil municipal dès 1965 ».
↑Yoann Vallier, « L'ancien maire d'Avon Jean-Pierre Le Poulain fait ses adieux à la vie publique : Maire d’Avon pendant près de 20 ans, Jean-Pierre Le Poulain a annoncé son retrait de la vie publique. Tout en saluant la « relève » incarnée selon lui par Dimitri Bandini », La République de Seine-et-Marne, (lire en ligne, consulté le )« Après sa défaite en 2014, il avait choisi de se retirer dans le sud, restant toutefois élu d’opposition, n’hésitant pas à mettre son grain de sel à distance ».
↑Yoann Vallier, « Décès de Jean-Pierre Le Poulain, maire d'Avon pendant 19 an : La ville d'Avon a annoncé le décès de son maire honoraire Jean-Pierre Le Poulain. Il a été à la tête de la commune pendant presque 20 ans et laisse l'image d'un maire bâtisseur », La République de Seine-et-Marne, (lire en ligne, consulté le )« Ses réalisations sur Avon sont extrêmement nombreuses et il laisse l’image d’un maire bâtisseur. Il faisait également partie des hommes politiques pionniers de l’écologie, ayant présidé la commission Agenda 21 et développement durable de l’Amicale des Maires d’Ile de France. Politiquement, il était conseiller national pour l’UMP et proche de personnalités comme François Fillon, François Baroin ou Xavier Bertrand. ».
↑ abcde et fTimothée Talbi, « « L’un des pires collabos » : à Avon, une exposition dans la demeure d’un fidèle soutien de Pétain fait polémique : A l’occasion des Journées du patrimoine, la mairie d’Avon proposait une exposition sur le couple Lola et René Dommange dans le manoir de Bel-Ebat. Dans une commune marquée par les actes courageux de trois Justes durant l’Occupation, l’évènement a suscité l’indignation d’anciens élus », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le ).
↑Yoann Vallier, « Les cinq premières mesures de Marie-Charlotte Nouhaud, réélue maire d'Avon : À peine réélue, la maire a annoncé cinq actions qui vont prendre effet immédiatement. De quoi démarrer le travail avant la rentrée avant de dérouler son programme », La République de Seine-et-Marne, (lire en ligne, consulté le ).
↑Yoann Vallier, « Avon n'oubliera jamais Paul Mathéry : Emouvante cérémonie à Avon vendredi : l'école Avon-Centre a été renommée Paul Mathéry, en hommage au secrétaire de maire, héros de la Résistance avonnaise. Retour en images », La République de Seine-et-Marne, (lire en ligne, consulté le ).
↑S. B., « A Avon, l'école primaire Carnot rebaptisée Paul Mathéry », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne, (lire en ligne, consulté le ).