Enregistré dans la chambre 33 et le bar de l'Hôtel de la Cité de Carcassonne[2], transformé en studio par Dominique Blanc-Francard, cet album prolonge la collaboration de Stephan Eicher avec Philippe Djian comme parolier, commencée lors de l'album précédent, Engelberg. On y retrouve ainsi, dans les paroles, les thèmes du temps qui passe, source de nostalgie comme de libération. Toutefois, l'album garde la dimension cosmopolite habituelle à Stephan Eicher, aussi bien dans l'interprétation de titres en plusieurs langues que dans le line up des musiciens de l'album[3].
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L'album est inclus dans l'ouvrage Philippe Manœuvre présente : Rock français, de Johnny à BB Brunes, 123 albums essentiels[4] (bien que Stephan Eicher soit en réalité Suisse yéniche romand francophone).
↑Alain Wais, « Le Carcassonne de Stéphan Eicher », Glamour, no 56, , p. 112 à 117
↑Philippe Manœuvre, Philippe Manœuvre présente : Rock français, de Johnny à BB Brunes, 123 albums essentiels, Hoëbeke, octobre 2010 (ISBN9782-84230-353-2)