Sa figure, rapidement tombée dans l'oubli après sa mort, est redécouverte au XXIe siècle, notamment grâce aux travaux de l'historienne Sonia Hernandez.
La militante fait partie des premières féministes du pays ; elle s'implique dans le mouvement anarchiste et féministe du Mexique[2]. Sa trajectoire personnelle lui permet d'établir des liens entre plusieurs groupes, cultures et classes sociales[6]. Elle prend une position de décisionnaire au sein de son groupe dans les années 1920 et 1930[7]. Elle est en lien avec d'autres figures du mouvement anarchiste mexicain, comme avec Librado Rivera[2].
Sa figure, rapidement tombée dans l'oubli après sa mort, est redécouverte au XXIe siècle, notamment grâce aux travaux de l'historienne Sonia Hernandez[8],[9].
↑ ab et c(es) Sonia Hernández, DE TAMPICO A TEXAS : LA HISTORIA LABORAL DE MÉXICO A TRAVÉS DEL FEMINISMO TRANSFRONTERISTA , 1910-1940, 55 p. (lire en ligne)