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Catherine Leroux est née en 1979 dans la banlieue nord de Montréal, à Rosemère et habite maintenant Montréal. Après avoir occupé le poste de journaliste, elle se consacre à l'écriture tout en menant en parallèle une carrière de traductrice littéraire[1].
Comme romancière, elle fait notamment paraître La Marche en forêt (Éditions Alto, 2011), Le Mur mitoyen (Éditions Alto, 2013), Madame Victoria (Éditions Alto, 2015) ainsi que L'avenir(en) (Éditions Alto, 2020)[2],[3],[4],[5],[6],[7].
Catherine Leroux est également traductrice. Elle traduit notamment Corps conducteurs de Sean Michaels (Éditions Alto, 2016), Nous qui n'étions rien de Madeleine Thien (Éditions Alto, 2018), Le cœur à retardement de Andrew Kaufman (Éditions Alto, 2020) ainsi que Les coups de dés de Sean Michaels (Éditions Alto, 2021)[8],[9],[10],[11]
Sélections du Compendium des superhéros de la banlieue de Toronto, de Andrew Kaufman, traduit de l’anglais par Catherine Leroux, avec des illustrations de Pishier, (ISBN9782896942138)
Corps conducteurs, de Sean Michaels, traduit de l'anglais par Catherine Leroux, Québec, Alto, 2016, 389 p. (ISBN9782896942091 et 9782896942114)
Le saint patron des merveilles, de Mark Frutkin, traduit de l'anglais par Catherine Leroux, Québec, Alto, 2017, 393 p. (ISBN9782896943067)
Nous qui n'étions rien, de Madeleine Thien, traduit de l'anglais par Catherine Leroux, Québec, Alto, 2018, 539 p. (ISBN9782896943302 et 9782896943326)
Le cœur à retardement, de Andrew Kaufman, traduit de l'anglais par Catherine Leroux, Québec, Alto, 2020,198 p. (ISBN2896944613 et 9782896944613)
Les coups de dés, de Sean Michaels, traduit de l'anglais par Catherine Leroux, Québec, Alto, 2021, 198 p. (ISBN9782896944873 et 2896944877)
↑Marie-Michèle Giguère, « Catherine Leroux, Lynda Dion, Magali Sauves », Lettres québécoises : la revue de l’actualité littéraire, no 143, , p. 25–26 (ISSN0382-084X et 1923-239X, lire en ligne, consulté le )
↑Isabelle Beaulieu, « Catherine Leroux, François Racine, Maxime Olivier Moutier », Lettres québécoises : la revue de l’actualité littéraire, no 161, , p. 20–21 (ISSN0382-084X et 1923-239X, lire en ligne, consulté le )
↑David Dorais, « Insaisissable Madame Victoria / Catherine Leroux, Madame Victoria, Québec, Alto, 2015, 198 p. », XYZ. La revue de la nouvelle, no 128, , p. 87–91 (ISSN0828-5608 et 1923-0907, lire en ligne, consulté le )
↑Christian Desmeules, « Littérature québécoise - Liens du sang, liens du coeur », Le Devoir •, , p. F3 •
↑Anne-Frédérique Hébert-Dolbec, « Fiction - Catherine Leroux, que doit-on à nos enfants? », Le Devoir, , p. LeD18 •
↑Josée Lapointe, « L'optimisme écoanxieux de Catherine Leroux », La Presse, , p. ARTS et être_8 •
↑Julie Roy, « Lire d'un océan à l'autre », L'Actualité,
↑ a et bAnne-Frédérique Hébert-Dolbec, « Le Robin des Bois de la chance », Le Devoir •, , p. LED21 •