Pendant la Révolution, la croix de fer[2] qui surmontait la colonne, ainsi que l'inscription à sa base, sont retirées en application d'un arrêté du conseil général de la commune de Saint-Germain-en-Laye du [3].
La croix surmonte une colonnedorique à fûtcannelé et rudenté dont le socle mouluré présente quatre médaillons sur certains desquels sont sculptés des blasons ; l'ensemble repose sur une base ronde surélevée de deux marches[6],[8].
↑ a et bRoger Berthon, La forêt de Saint-Germain-en-Laye, Paris, CIDAP, coll. « Les forêts de France », , 64 p. (BNF31806831), p. 36–37.
↑Alphonse Rolot et Louis de Sivry, Précis historique de saint-Germain-en-Laye, Saint-Germain-en-Laye, Beau, , p. 12–13 [lire en ligne].
↑Laurent Napoléon, « Saint-Germain-en-Laye : Notice topographique », Bulletin de la Commission des antiquités et des arts du département de Seine-et-Oise, vol. 7, , p. 141–203, « Croix de Noailles », p. 198–199 [lire en ligne].
↑ a et bInventaire général des monuments et des richesses artistiques de la France (Commission régionale d'inventaire d'Île-de-France, Pré-inventaire des Yvelines), Saint-Germain-en-Laye, image et mémoire d'une ville (catalogue de l'exposition du pré-inventaire, Manège royal, Saint-Germain-en-Laye, -), Saint-Germain-en-Laye, La Ville, , 170 p. (BNF34676609), p. 148.