Le cyclisme recouvre plusieurs notions concernant la bicyclette : il est d'abord une activité quotidienne pour beaucoup, un loisir pour d'autres (cyclotourisme), enfin un sport proposant des courses selon plusieurs disciplines : l'école de cyclisme, le cyclisme sur route, le cyclisme sur piste, le cyclo-cross, le vélo tout terrain (abrégé couramment VTT), le BMX, le cyclisme en salle et le polo-vélo. Le sport cycliste est réglementé au niveau mondial par l'Union cycliste internationale (UCI).
Le baron allemand Karl Von Drais invente en 1816 la draisienne[1], considérée comme l'ancêtre de la bicyclette[2]. C'est un véhicule à deux roues alignées que le cycliste fait avancer en poussant sur le sol avec ses pieds. Il présente son invention à Paris, le [2]. En 1861, le carrossier Pierre Michaux et son fils Ernest commencent la fabrication des premiers vélocipèdes à pédale[3]. Pierre Michaux appelle cette pédale « pédivelle » et en généralise la fabrication en créant son entreprise en 1865, la « Maison Michaux » qui devient « La Compagnie parisienne » en 1869. Il est question, à partir de 1867, de succès populaire. Des engins similaires au vélocipède Michaux ont beaucoup de succès aux États-Unis à partir de 1866, lorsque Pierre Lallement, ancien associé de Pierre Michaux, obtient un brevet américain pour une machine qu'il appelle « bicycle ». Vers la fin des années 1870 apparaît le grand-bi. Il a une roue avant d'un très grand diamètre et une roue arrière plus petite. L'intérêt de la grande roue avant est d'augmenter la distance parcourue pour un tour de pédale. La roue avant étant plus haute et plus grande que la roue arrière, la conduite de l'engin est dangereuse et difficile.
Deux ans plus tard, les premiers clubs cyclistes sont fondés : les Véloces Clubs de Paris, Toulouse, Rouen. En 1880, John K. Starley de la société The Coventry Sewing Machine Company (« société des machines à coudre de Coventry »), qui deviendra Rover, invente la « bicyclette de sécurité » avec des roues de taille raisonnable et une transmission par chaîne. Le cycliste y est installé à l'arrière, ce qui rend presque impossible la chute de type « soleil » où le cycliste est catapulté par-dessus la roue avant. Le , l'Union vélocipédique de France (UVF) est créée à Paris. L'Écossais John Boyd Dunlop invente le pneumatique en 1888, ce qui contribue à améliorer encore le confort du cycliste. Trois ans plus tard, Michelin invente le pneu démontable. En 1896, le cyclisme devient sport olympique. En 1900, l'Union cycliste internationale est créée.
En 1910, la roue libre fait son apparition sur le Tour de France (compétition créée en 1903), puis le dérailleur en 1937. En 1941, sous le régime de Vichy, Jean Borotra interdit aux femmes de participer à des compétitions cyclistes, jugeant que ce sport est nocif pour elles[4]. En 1945, l'UVF est remplacée par la Fédération française de cyclisme (FFC). La Fédération Internationale de cyclisme amateur, fondée en 1900 par les membres des fédérations américaine, belge, française, italienne et suisse, fusionne en 1993 avec la Fédération Internationale de cyclisme professionnel pour devenir l'Union cycliste internationale (UCI). Plus de 170 fédérations nationales sont affiliées à l'UCI.
L'équipement diffère sensiblement selon le type de pratiquant.
En randonnée amateur ou en simple circulation, le port du casque par le cycliste n'est pas obligatoire, comme le phare, lorsque son utilisation n'est pas nécessaire (hors d'un tunnel, par beau temps, par exemple), bien que tous deux conseillés. On peut également installer des pare-boue (surtout en temps pluvieux ou dans une zone forestière). Mais il est obligatoire de porter et d'utiliser un phare diffusant un rayon blanc ou jaune lorsque le temps ou le lieu l’exige (dans un tunnel, lorsque le temps est pluvieux), de même qu'une bicyclette doit porter tout le temps un catadioptre blanc à l’avant et rouge à l'arrière du véhicule, et que le conducteur doit porter sur lui un gilet (recommandé hors agglomération, obligatoire de nuit ou quand la visibilité est nulle ou mauvaise (brouillard)).
En course, lors de compétitions professionnelles, le port du casque est obligatoire dans toutes les disciplines afin d'éviter les accidents, tout comme pour le triathlon[5]. De plus, depuis le 1er janvier 2000, l’UCI a réglementé le poids minimum des bicyclettes à 6,8 kg (article 1.3.019).
Le cyclisme urbain constitue la branche du cyclisme dévolue au transport urbain. Il s'agit de tout ce qui est relatif aux déplacements à vélo sur de petites et moyennes distances (quelques kilomètres) en milieu quasi exclusivement urbain (dans la ville et sa proche banlieue), c'est-à-dire en partageant la voirie avec les autres modes de déplacement motorisés ou non. Sur une distance entre un et sept kilomètres le vélo est le mode de transport le plus rapide. Au-delà de cette praticité, le cyclisme urbain vise à limiter la pollution et à diminuer l'engorgement croissant des villes par l'usage massif de l'automobile. De plus, ses bienfaits multiples pour la santé individuelle sont reconnus. Il fait partie de l'écomobilité.
Des aménagements spécifiques peuvent être construits pour tenter d'améliorer les conditions de circulation des cyclistes urbains. Ces aménagements peuvent être des bandes ou pistes cyclables, zone de rencontre, double-sens cyclable et parkings dédiés aux vélos (ou vélos et cyclomoteurs). Des feux cyclistes spécialement dédiés sont également mis au point.
Même si les aménagements se répandent dans nos villes, 61 % des Français considèrent encore qu'il est trop dangereux d'utiliser le vélo comme moyen de transport. C'est 9% de plus que la moyenne mondiale qui considère à 52 % que ce moyen de transport est trop risqué[6].
Le cyclotourisme est la pratique de la randonnée à bicyclette, réalisée sans esprit de compétition. Le cyclotourisme se présente sous de multiples formes, de la promenade et de la pratique familiale à allure libre jusqu'aux rallyes et brevets sur tous les parcours et toutes les distances : rallyes libres, brevets-randonneurs, flèches, diagonales, cyclo-découvertes, cyclo-montagnardes, Audax. Créé en 1890, le Touring Club de France est la seule association représentative du cyclotourisme en France de la fin du XIXe siècle au début du XXe siècle. Par la suite, le club se tourne vers le tourisme automobile, ce qui amène la création le de la Fédération Française des Sociétés de Cyclotourisme, rebaptisée en 1945 Fédération française de cyclotourisme (FFCT). À partir des années 1970, le développement de la Fédération est devenu régulier et le nombre de clubs ne cesse d'augmenter en France.
Cyclisme | |
Autres appellations | La petite reine[7],[8] |
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Fédération internationale | UCI (depuis 1993) |
Licenciés | Environ 600 000[9] |
Pratiquants | Un milliard ou plus[9] |
Professionnels | Environ 1 200[9] |
"La Course de 12 Heures" de la revue "La Bicyclette" (vainqueur à 22 heures Charles Nicodémi, à la mi-octobre 1892). | |
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Le principe du cyclisme dans sa version sportive est de parcourir une distance donnée à bicyclette le plus rapidement possible. Les concurrents sont répartis dans des catégories en fonction de leur âge, de leur sexe et de leur niveau. Pratiqué dans le cadre d'une association ou en individuel, avec inscription à une épreuve ou en sortie libre, il s'agit du cyclosport dont les pratiquants sont les cyclosportifs[10].
Le cyclisme sur route comprend plusieurs types d'épreuves incluant la « course à étapes » (Tour de France, Tour d'Espagne, Tour d'Italie, Tour de Suisse, Tour de Belgique, Tour de Pologne) ; la « course classique », course en ligne d'un jour (Paris-Roubaix, Tour de Lombardie, Liège-Bastogne-Liège, par exemple) ; la course « contre-la-montre », (Grand Prix des Nations, par exemple) et la course « contre-la-montre par équipe » (Eindhoven Team Time Trial, par exemple). Il est dit du cyclisme sur route que c'est un sport d'équipe, mais à classement individuel[réf. nécessaire].
Les épreuves de cyclisme sur piste se déroulent sur des vélodromes et prennent des formes plus diversifiées : il existe des épreuves individuelles et des épreuves par équipes, des épreuves de sprint, de demi-fond et de fond. Les plus connues sont la vitesse, la poursuite et le kilomètre. Les principales compétitions sont les Jeux olympiques et les Championnats du monde de cyclisme sur piste. Le cyclocross est une spécialité hivernale, qui se court en circuit. La course dure une heure environ, sur un revêtement souvent mixte (asphalte et terre). Le BMX est essentiellement caractérisé par sa très petite taille et ses roues de 20", ce qui lui confère une maniabilité sans égale et a permis la création de plusieurs disciplines : race, dirt, flat, rampe, street.
Le vélo tout terrain, également appelée VTT, est la plus récente du cyclisme sportif. Le vélo tout terrain (ou Mountain Bike) a été inventé aux États-Unis en 1970. Il a été importé en France quelques années plus tard. Ce terme désigne également le vélo avec lequel cette discipline est pratiquée : compte tenu de sa polyvalence, ce type de vélo est, avec le VTC, le plus vendu en France actuellement[11].
Les épreuves cyclosportives (ou cyclosport) sont à mi-chemin entre le cyclotourisme des randonneurs et la compétition cycliste, mais il s'agit d'épreuves de masse proposées à tous les cyclistes : les organisateurs proposent des dossards, un classement et un chronométrage comme dans les marathons de course à pied. En France, plus de 150 sont dénombrées, la plus célèbre et la plus ancienne étant « La Marmotte », créée en 1982 dans les Alpes, qui attire plus de 8 000 participants.
Le cyclisme handisport est un sport dérivé du cyclisme et des compétitions existent depuis les années 1960.
Pour participer aux courses les coureurs doivent être licensiés de la FFC ou UFOLEP. Malgré l'engouement prononcé pour le cyclisme ces trois dernières années, le nombre de licensiés baisse et est passé de 112 000 à 104 000 licenciés entre 2019 et 2020[12].
Le sport cycliste est inscrit de longue date au calendrier des Jeux olympiques d'été. Les épreuves sont ouvertes tant aux hommes qu'aux femmes. Les épreuves sur route incluent la course en ligne et l'épreuve du contre-la-montre. Le cyclisme sur piste est également présent avec différentes disciplines et, depuis quelques années, le mountain-bike et le BMX ont été inclus au programme.
Le cyclisme handisport ou paracyclisme est devenu un sport officiel aux Jeux paralympiques depuis les Jeux paralympiques d'été de 1988 à Séoul, avec une version sur route aux Jeux paralympiques d'été de 1996 à Atlanta.
Chaque pays organise ses propres championnats pour déterminer les meilleurs athlètes par discipline. Les Championnats de France de cyclisme sont organisés tous les ans par la Fédération française de cyclisme. Ils rassemblent des athlètes par équipes et par régions et se déclinent par catégories d'âge (cadets, juniors, espoirs et élite). En Europe, il existe des championnats d'Europe dans chaque discipline.
La rédaction de L'Équipe magazine a établi un classement des 100 sportifs du siècle[13]. Eddy Merckx, classé neuvième, est le premier d'entre eux. Quatre autres cyclistes ont été retenus : Fausto Coppi, Jacques Anquetil, Alfredo Binda et Bernard Hinault. Tous sont issus de la route et aucune femme ne figure dans ce classement. Par ailleurs, Eddy Merckx a été élu « Coureur du siècle » par l'UCI[14]. Chaque année, plusieurs titres de meilleurs coureurs sont décernés. Le plus prestigieux de ces honneurs reste le Vélo d'or. Citons également le Mendrisio d'or et le coureur UCI de l'année.
La piste est également utilisée pour établir des records de temps sur une distance déterminée, ou de distance parcourue pendant une durée déterminée. Le plus célèbre est le record de l'heure, qui consiste à parcourir seul la plus grande distance possible pendant une heure. L'histoire du record de l'heure a été jalonnée par les exploits des plus grands coureurs spécialistes du contre-la-montre sur route ou de la poursuite sur piste (parmi lesquels Fausto Coppi, Jacques Anquetil, Eddy Merckx, Francesco Moser, Miguel Indurain peuvent être cités).
La plus grande vitesse jamais atteinte sur du plat, l'a été par le Néerlandais Sebastiaan Bowier en septembre 2013, portant le record du monde à 133,78 km/h, sur son vélo couché hautement aérodynamique, grâce à un carénage aérodynamique[15]. C'est le record toutes catégories pour les véhicules à propulsion humaine.
L'ultracyclisme est une discipline regroupant les compétitions disputées sur de très longues distances. L'épreuve la plus connue de l'ultracyclisme avec assistance véhiculée est la Race Across AMerica (RAAM)[réf. nécessaire].
Resté anecdotique pendant de nombreuses années, le cyclisme féminin est reconnu par l'Union cycliste internationale[16] mais aussi par la Fédération française de cyclisme[17]. Ce ne fut pas toujours le cas : en France, en 1941, sous le régime de Vichy, Jean Borotra interdit aux femmes de participer à des compétitions cyclistes, jugeant que le ce sport est nocif pour elles[4]. Cette pratique prend un essor important avec l'organisation, en 1984, du Tour de France féminin. En effet, la Grande Boucle féminine internationale (anciennement Tour de France féminin) est une course cycliste sur route par étapes, qui s'est disputée chaque année entre 1984 et 2009 en France, exclusivement par des femmes. La course était considérée comme l'un des trois grands tours féminins avec le Tour d'Italie féminin et le tour de l'Aude.
De 1984 à 1989, un Tour de France féminin est couru en lever de rideau de l'épreuve masculine. Cette épreuve est organisée par la Société du Tour de France organisatrice du Tour de France masculin. En 1990, cette épreuve change de nom et de format : elle devient le Tour de la CEE féminin qui s'arrête en 1993.
Les jeux olympiques accueillent une épreuve féminine sur route depuis 1984, des compétitions féminines sur piste depuis 1988[18]. En 2012, pour rétablir la parité aux jeux olympiques de Londres, le programme du cyclisme féminin est similaire au programme du cyclisme masculin : il comprend une course sur route (médaille d'or pour Marianne Vos, néerlandaise), une course contre la montre (médaille d'or pour Kristin Armstrong, américaine), une épreuve de vitesse (médaille d'or pour Anna Meares, australienne), une compétition de keirin féminin (médaille d'or pour Victoria Pendleton, britannique), l'omnium (médaille d'or pour Laura Kenny, britannique), la vitesse par équipes, la poursuite par équipes, ainsi qu'un cross-country en V.T.T. (médaille d'or pour Julie Bresset, française) et une compétition de B.M.X. (médaille d'or pour Mariana Pajón, colombienne)[19].
La Coupe du monde de cyclisme sur route féminine a été créée en 1998.
Alors que les championnats du monde ont été créés en 1895 pour les hommes, le championnat du monde de cyclisme sur route féminin n'est apparu qu'en en 1958[20].
Certaines épreuves, comme le 500 m femmes, sont toutes récentes. Réservées aux femmes, elles se disputent, seule contre la montre sur 500 mètres, départ arrêté avec un classement au temps. La cycliste accélère le plus rapidement possible jusqu'à sa vitesse maximale, puis tente de la maintenir jusqu'à la ligne d'arrivée. Les meilleurs temps pour le 500 mètres départ arrêté tournent autour de 34 secondes. Les tactiques ne sont pas prédominantes dans cette compétition. Il s'agit purement d'un test de puissance et de techniques précises[21].
La pratique du cyclisme peut avoir des conséquences à long terme sur la santé de ses pratiquants.
Les exercices physiques du cyclisme sont liés à l'amélioration de la santé et au bien-être. Elles assurent, selon la plupart des études de santé[22],[23], la perte de poids, améliorent l’endurance, diminuent les temps de récupération, permettent d'éviter les maladies cardiovasculaires liées à l'âge et amplifient les voies respiratoires[24]. Tous ces effets sont bons à long terme. Néanmoins, les risques sont prépondérants en cas d'efforts trop fréquents[24][source insuffisante]. Bien qu'exposé à la pollution automobile, les bénéfices semblent[réf. nécessaire] l'emporter sur les effets de cette pollution, par rapport aux autres modes de déplacements.
La pratique du cyclisme ne se fait pas sans risque de blessure. De telles contre-indications seraient d'abord liées au manque de prévention : vitesse trop élevée pour la route selon son état ou son inclinaison, non-respect du Code de la route (les grillages des feux urbains, le passage d'un Stop ou d'un Cédez-le-passage sans considération, la conduite à gauche ou en zigzag), intolérance des automobilistes. Ensuite, l'état de la chaussée et de la piste cyclable peut également jouer un rôle dans le déséquilibre du cycliste et la chute de celui-ci, si elles sont déplorables. Enfin, des conditions météorologiques, telles que la neige, la grêle ou même la foudre peuvent contribuer à blesser, voire tuer des cyclistes.
Les traumatismes crâniens représentent, selon une étude de 2012[25], environ une personne sur vingt des tués et blessés graves en agglomération ; la moitié des accidents sont d'ailleurs liés[pas clair] à ce type de traumatisme. Les deux tiers des cyclistes accidentés dont le pronostic vital a été engagé présentaient effectivement un traumatisme crânien. Le cycliste peut également endurer des crampes, des fractures osseuses en cas de chute, un malaise[26], etc. Des douleurs à plus long terme peuvent également être la cause des blessures ressenties à vélo comme les hernie discale ou une tendinite… La vulve de la cycliste, présente chez une cycliste professionnelle sur cinq environ, est une déformation des grandes lèvres en raison du poids et du frottement des parties génitales contre la selle[27].
Les auteurs de la précédente étude indiquent qu'en 2010, en France, 59 cyclistes sont décédés et 963 blessés.
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Actuellement, la presse cycliste magazine est représentée par de nombreux titres, couvrant l'ensemble des activités cyclistes. Pour la France seule, par ordre d'ancienneté de parution[30] :
Les bienfaits de ce sport pour la santé sont mis en avant par la Fédération française de cyclisme et celle-ci demandera lors de la pandémie du Covid-19 d’autoriser à nouveau la pratique de ce sport, dès le [44],[45].
Les représentants de la Fédération française de cyclisme fustigent en parlant d'une "véritable discrimination vis-à-vis de (leur) sport"[45].