David Leisterh | |
Photo de profil de Leisterh David | |
Fonctions | |
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Chef de Groupe MR au Parlement bruxellois | |
– aujourd'hui | |
Président du CPAS de Watermael-Boitsfort | |
– aujourd'hui | |
Vice-Président du MR Bruxellois | |
– (3 ans) |
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Président du MR Bruxellois | |
– aujourd'hui | |
Député bruxellois | |
En fonction depuis le (5 ans, 5 mois et 17 jours) |
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Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Liège (Belgique) |
Nationalité | Belge |
Parti politique | Mouvement Réformateur (MR) |
Diplômé de | UCLouvain Saint-Louis Bruxelles |
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David Leisterh est un homme politique belge, président de l'antenne bruxelloise du Mouvement Réformateur (MR)[1]. Député au Parlement régional bruxellois depuis le et Président du CPAS de Watermael-Boitsfort depuis 2012, il est également lecteur en langues modernes à l'Université Saint-Louis - Bruxelles depuis 2006[2].
David Leisterh est né le à Liège[3]. Son père était enseignant et sa mère garde-malade[2].
David Leisterh est diplômé en traduction. Il enseigne les langues modernes depuis 2006 à l'Université Saint-Louis - Bruxelles[2].
David Leisterh a été conseiller en affaires sociales au Cabinet du Vice-Premier Ministre et Ministre des affaires étrangères, Didier Reynders pendant sept ans[2].
Depuis les élections communales de 2012, David Leisterh occupe le mandat de Président du CPAS de Watermael-Boitsfort[3],[2]. Il a été élu député au Parlement de la région de Bruxelles-Capitale le [4]. Au Parlement bruxellois, David Leisterh est présent dans plusieurs commissions[5].
De 2017 à , David Leisterh est Vice-Président du MR Bruxellois[6].
Depuis le , il est aussi Président de la Régionale MR de Bruxelles et de la Périphérie. Les membres MR de la Régionale l'ont élu avec 66% de voix[7],[8]
En 2022, Il se positionne comme l'un des défenseurs d'un texte interdisant l'abattage rituel sans étourdissement à Bruxelles[9],[10].
En septembre 2022, il se rend à un voyage diplomatique à Laâyoune sur invitation et au frais du Parlement marocain avec David Weytsman, Clémentine Barzin et Gaëtan Van Goidsenhoven[11]. François De Smet, dénonce “une erreur politique” des élus libéraux qui placent en “porte-à-faux” la diplomatie belge[12].