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Dognen

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Dognen
Dognen
Le monument aux morts.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté de communes du Béarn des Gaves
Maire
Mandat
Patrick Gourriet
2020-2026
Code postal 64190
Code commune 64201
Démographie
Gentilé Dognénois
Population
municipale
229 hab. (2021 en évolution de +8,02 % par rapport à 2015)
Densité 34 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 17′ 34″ nord, 0° 44′ 22″ ouest
Altitude Min. 120 m
Max. 223 m
Superficie 6,79 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Oloron-Sainte-Marie
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Cœur de Béarn
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Dognen
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Dognen
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Voir sur la carte topographique des Pyrénées-Atlantiques
Dognen
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Dognen

Dognen (prononcé [dɔɲɛ̃] ; en béarnais Dònhen ou Dògnẹ) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Le gentilé est Dognénois[1].

Géographie

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Localisation

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Carte
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune de Dognen se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

Elle se situe à 40 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, à 18 km d'Oloron-Sainte-Marie[4], sous-préfecture, et à 18 km de Mourenx[5], bureau centralisateur du canton du Cœur de Béarn dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Navarrenx[2].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[6] : Gurs (1,2 km), Lay-Lamidou (1,6 km), Jasses (2,2 km), Préchacq-Navarrenx (2,6 km), Sus (2,6 km), Navarrenx (3,6 km), Préchacq-Josbaig (3,8 km), Ogenne-Camptort (3,8 km).

Sur le plan historique et culturel, Dognen fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[7].

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Gurs, Jasses, Lay-Lamidou, Ogenne-Camptort, Préchacq-Josbaig et Préchacq-Navarrenx.

Hydrographie

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Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Dognen.

La commune est drainée par le gave d'Oloron, le Lausset, le Laüs, le Layous, un bras du Layous, l'Arrieu, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 7 km de longueur totale[9],[Carte 1].

Le gave d'Oloron, d'une longueur totale de 148,8 km, prend sa source dans la commune de Laruns et s'écoule vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Sorde-l'Abbaye, dans les Landes, après avoir traversé 64 communes[10].

Le Lausset, d'une longueur totale de 39,3 km, prend sa source dans la commune de Sauguis-Saint-Étienne et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Narp, après avoir traversé 14 communes[11].

Le Laüs, d'une longueur totale de 10,6 km, prend sa source dans la commune de Lucq-de-Béarn et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune dans l'extrême nord-est du territoire communal et se jette dans le gave d'Oloron à Navarrenx, après avoir traversé 6 communes[12].

Le Layous, d'une longueur totale de 17,2 km, prend sa source dans la commune de Lucq-de-Béarn et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Jasses, après avoir traversé 7 communes[13].

Historiquement, la commune est exposée à un climat de montagne[14]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[15].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 210 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[16]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Monein à 13 km à vol d'oiseau[17], est de 14,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 228,6 mm[18],[19]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[20].

Milieux naturels et biodiversité

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Réseau Natura 2000

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Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « le gave d'Oloron (cours d'eau) et marais de Labastide-Villefranche »[22], d'une superficie de 2 547 ha, une rivière à saumon et écrevisse à pattes blanches[23],[Carte 2].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Une ZNIEFF de type 2[Note 4] est recensée sur la commune[24],[Carte 3] : le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » (6 885,32 ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les Pyrénées-Atlantiques[25].

Au , Dognen est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[26]. Elle est située hors unité urbaine[2]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Oloron-Sainte-Marie, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[2]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[27],[28].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (72 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (50,9 %), forêts (22,5 %), zones agricoles hétérogènes (19,3 %), zones urbanisées (6,5 %), prairies (0,7 %)[29]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

Lieux-dits et hameaux

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Rive droite du gave :

  • l'Artiguette ;
  • la Bielle ;
  • les Camous ;
  • les Chrétiens ;
  • Crapenx ;
  • les Croutzades ;
  • la Garenne ;
  • Espious ;
  • l'Estelle ;
  • Lannes ;
  • Lassit ;
  • Pondique ;
  • Sarrat.

Rive gauche du gave :

  • Arquemale : bois sur les rives du Lausset ;
  • Arriutort ;
  • Coutubi.

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Dognen est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[30]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[31].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le gave d'Oloron, le Lausset, le Layous et le Laüs. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 2009 et 2018[32],[30].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Dognen.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[33]. 40,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 6],[34].

Attestations anciennes

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Le toponyme Dognen apparaît[35] sous les formes Donen (1214)[36], Villa de Donenh (1235)[37], Doneng (XIIIe siècle)[38], Sent Johan de Donenh (1384)[39], Donheen (1546)[37] et Doignen (1673)[40].

Le toponyme Orrognen apparaît[35] sous les formes Ororeng et Ororenh (XIIIe siècle)[38], lo molii d'Ororenh (1384)[39], l'ostau d'Aurorenh (1385)[41], Oronenh et Oronhen (respectivement 1538 et 1571)[37] et Oroignen (1655)[35].

Autres toponymes

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Le toponyme Sensaudens, manifestement un faux hagionyme[42], apparaît[35] sous les formes Senct-Saudeng (1267)[43], l'ostau de Sent-Saudenh (1385)[41], Sen-Saudenh (1391)[44], Sent-Saudenh (1385[41] et 1536)[45], Saint-Saudains, Saint-Saudeins et Sensaudens (respectivement 1675, 1676 et 1684)[37] et Saint-Saudens (1863)[46].

Graphie béarnaise

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Son nom béarnais est Dònhen[47] ou Dògnẹ[48].

Paul Raymond[35] note qu'en 1385, Dognen dépendait du bailliage de Navarrenx et comptait 35 feux.
Dognen a hébergé quatre châteaux dont :

  • le château d'Orrognen dont les ruines sont visibles près du pont. Le fief d'Orrognen dépendait du bailliage de Navarrenx et relevait de la vicomté de Béarn. En 1655, il fut érigé en baronnie, incluant Lay, Orrognen et Préchacq-Navarrenx. Orrognen a appartenu[35] à la commune de Lay-Lamidou ;
  • le château de Sensaudens. Le fief de Saint Saudens était un vassal de la vicomté de Béarn, et dépendait du bailliage de Navarrenx ;
  • la maison Domecq est aujourd'hui détruite.

Le village a été marqué par la présence du camp de Gurs, implanté en partie sur ses terres.

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
2020 En cours Patrick GOURRIET    

Intercommunalité

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La commune fait partie, en 2014, de sept structures intercommunales[49] :

  • la communauté de communes du Béarn des Gaves ;
  • le SIVU du Layou ;
  • le syndicat AEP de Navarrenx ;
  • le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
  • le syndicat de la perception de Navarrenx ;
  • le syndicat intercommunal des gaves et du Saleys ;
  • le syndicat mixte forestier des chênaies des vallées basques et béarnaises.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[51].

En 2021, la commune comptait 229 habitants[Note 7], en évolution de +8,02 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
464492505518570542538518478
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
510469489458469466471475448
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
461469401339323302312284270
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
269247230208209194217217214
2014 2019 2021 - - - - - -
211227229------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[52] puis Insee à partir de 2006[53].)
Histogramme de l'évolution démographique

Le gave alimente une micro-centrale électrique. On y cultive principalement le maïs.

La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

Culture locale et patrimoine

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Patrimoine civil

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Un tumulus protohistorique, dit tumulus du camp de Gurs, est présent[54] sur la commune.

Patrimoine religieux

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L'église Saint-Jean-Baptiste.

L'église Saint-Jean-Baptiste date[55] du XIXe siècle.

Équipements

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La commune dispose d'une école élémentaire (regroupement pédagogique Préchacq-Navarrenx - Lay Lamidou - Dognen).

Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[21].
  4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Dognen » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Dognen », sur geoportail.gouv.fr.
  3. « ZNIEFF de type II sur la commune de Dognen », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  5. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Gentilé sur habitants.fr
  2. a b c d et e Insee, « Métadonnées de la commune de Dognen ».
  3. Stephan Georg, « Distance entre Dognen et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Dognen et Oloron-Sainte-Marie », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. Stephan Georg, « Distance entre Dognen et Mourenx », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Communes les plus proches de Dognen », sur villorama.com (consulté le ).
  7. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  8. Carte IGN sous Géoportail
  9. « Fiche communale de Dognen », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  10. Sandre, « le gave d'Oloron ».
  11. Sandre, « le Lausset ».
  12. Sandre, « le Laus ».
  13. Sandre, « le Layous ».
  14. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  15. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  16. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  17. « Orthodromie entre Dognen et Monein », sur fr.distance.to (consulté le ).
  18. « Station Météo-France « Monein » (commune de Monein) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  19. « Station Météo-France « Monein » (commune de Monein) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  20. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  21. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  22. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Dognen », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  25. « ZNIEFF le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  26. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
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  28. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  29. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  30. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Dognen », sur Géorisques (consulté le ).
  31. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  32. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  33. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  34. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  35. a b c d e et f Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
  36. Cartulaire de l'abbaye Notre-Dame de Sauvelade, publié par extraits dans les preuves de l'Histoire de Béarn de Pierre de Marca
  37. a b c et d Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
  38. a et b Titres de Préchacq, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  39. a et b Notaires de Navarrenx, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  40. Insinuations du diocèse d'Oloron, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrits du xviie siècle..
  41. a b et c Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne). .
  42. probablement un nom médiéval en -enc
  43. Titres de la commune de Monein - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  44. Notaires de Lucq-de-Béarn - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  45. Dénombrement de Navarrenx, manuscrits des XVIIe et XVIIIe siècles, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques : La maison noble de Sent-Saudenh sciza a ung treyt et miey de baleste de Donhen
  46. Bailliage de Navarrenx, f° 11;2171
  47. Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF] (consulté le ).
  48. Institut béarnais et gascon, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie moderne » [PDF] (consulté le ).
  49. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  50. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  51. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  52. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  53. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  54. Ministère de la culture, base Mérimée - Notice sur le tumulus du camp de Gurs
  55. Ministère de la culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Jean-Baptiste

Articles connexes

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Liens externes

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