Jon Martello (Joseph Gordon-Levitt) séducteur et accro aux films pornographiques, tombe amoureux d'une jeune fille, Barbara Sugarman (Scarlett Johansson) amatrice de films romantiques et formatée par l'image du Prince charmant. En couple, ces deux jeunes gens vont devoir apprendre à accepter les défauts de l'autre...
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Joseph Gordon-Levitt a quitté le tournage de Django Unchained dès qu'il a eu le feu vert pour mettre en route son premier long-métrage en tant que réalisateur[6].
Don Jon rencontre un succès commercial modeste, rapportant 41 268 579 $ de recettes mondiales[8], dont 24 477 704 $ aux États-Unis[8], où il prend la cinquième place du box-office lors de son premier week-end d'exploitation[9], pour un budget estimé entre 3 et 6 millions $[8],[9].
Le film totalise 258 793 entrées en France[10], 276 088 entrées en Russie[11], 75 154 entrées en Allemagne[11], 124 251 entrées au Royaume-Uni[11], 137 571 entrées en Italie[11] et 81 006 entrées en Espagne[11].
The New York Times : « Un film sincère sur la masculinité et ses inconvénients dont M. Gordon-Levitt fait une bonne description pour ses débuts en tant que réalisateur, à travers l'histoire de l'enseignement moral d'un jeune homme[12]. »
Rolling Stone : « Gordon-Levitt est réalisateur comme il est acteur : curieux, provocateur, désireux de creuser le point de discorde plutôt que de l'enterrer. Il ne prendra pas la sécurité comme solution[13]. »
New York Daily News : « Pour son premier long métrage, incroyablement risqué et intelligent, Gordon-Levitt évoque les batailles éternelles entre ces forces égales et souvent opposées : hommes et femmes ; comédie et tragédie, réalité et fantasme[14]. »
Hollywood Reporter : « Que ce soit en tant que réalisateur ou acteur, Gordon Levitt est allumé tout le temps, offrant peu d'ombrages ou de nuances[15]. »
Entertainment Weekly : « Comment faites-vous un film qui décrit la pornographie non seulement comme une solution et un produit, mais qui évoque aussi ses effets psychologiques ? Joseph Gordon-Levitt, le scénariste, réalisateur et star de Don Jon, l'a fait. Et il y parvient de façon brillante amusante[16]. »
Variety : « Là ou Shame de Steve Mc Queen avait pris l'angle obtus du film d'auteur pour parler de ce phénomène de l'obsession sexuelle, Gordon-Levitt surfe sur le sujet en en faisant une comédie romantique accessible[17]. »
Quand Johnny conduit pour aller à l'église, on peut entendre la chanson "Good Vibrations" de Marky Mark and the Funky Bunch, l'ancien groupe de musique dont l'acteur Mark Wahlberg faisait partie étant plus jeune. On peut entendre cette chanson une seconde en première partie de générique.