Filles de Sainte Marie de la Divine Providence | |
In Tua Providentia Nostra Spes | |
Ordre de droit pontifical | |
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Approbation pontificale | par Benoît XV |
Institut | congrégation religieuse |
Type | apostolique |
But | œuvres de charité, personnes âgées ou handicapées, enseignement, apostolat dans les paroisses. |
Structure et histoire | |
Fondation | Pianello del Lario |
Fondateur | Marcelline Bosatta & Louis Guanella |
Abréviation | F.S.M.P. |
Autres noms | Guanelliennes |
Patron | Notre-Dame de la Providence |
Site web | (it) site officiel |
Liste des ordres religieux | |
Les Filles de Sainte Marie de la Divine Providence (en latin : Congregatio Filiarum a Sancta Maria Providentiae) sont une congrégation religieuse féminine hospitalière et enseignante de droit pontifical.
Le , Carlo Coppini, prêtre de Pianello del Lario, ouvre un hospice sous le vocable du Sacré-Cœur pour assurer la prise en charge des orphelins et des personnes âgées abandonnées. Le , le groupe de femmes bénévoles qui administrent l'œuvre devient communauté religieuse et adopte le titre d'Ursulines.
En 1881 Louis Guanella (1842 - 1915) devient le directeur de l'hospice, il réorganise et donne un nouvel élan au développement de la communauté des Ursulines avec l'aide de Marcelline Bosatta qui prennent le nom de Filles de Sainte Marie de la Divine Providence et commencent à se développer dans les lieux alentour.
Le Saint-Siège accorde l'approbation finale de l'institut et ses constitutions le .
Une des premières religieuses et sœur de la fondatrice, Claire Bosatta, est béatifiée le par Jean Paul II.
Les guanelliennes se consacrent à diverses œuvres de charité, en particulier pour les personnes âgées, les personnes handicapées mentalement et physiquement, ainsi que l'enseignement et l'apostolat dans les paroisses.
Elles sont présentes en :
La maison généralice est à Rome.
En 2017, la congrégation comptait 589 sœurs dans 101 maisons[1].