Fondation |
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Type | |
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Forme juridique | |
Objectif |
Faire connaître et perpétuer l’action de Charles de Gaulle (1890-1970) |
Siège |
5, rue de Solférino, 75007 Paris |
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Coordonnées |
Fondateur | |
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Président | |
Site web |
La fondation Charles-de-Gaulle (qui a pris la suite de l’institut Charles-de-Gaulle) s’emploie depuis 1971 à faire connaître et à perpétuer l’action du général de Gaulle (1890-1970), chef de la France libre à l’époque de la Seconde Guerre mondiale, et président de la République française de 1959 à 1969.
En , sous l’impulsion de Pierre Lefranc, naît l’institut Charles-de-Gaulle. Il est présidé successivement par[1] :
Pierre Lefranc anime l’institut jusqu’en 1991.
Le siège social est au 5 rue de Solférino, où était localisé le Rassemblement du peuple français (jusqu'en 1955) et où se trouve alors le Service d'action civique (dissous en 1981)[2].
En 1991, voit le jour une fondation, bénéficiant d’une dotation annuelle de l’État, et reconnue d’utilité publique en .
En 2006, après plusieurs années de coexistence avec la Fondation, l’institut disparaît définitivement.
Hervé Gaymard est élu président de la fondation le [3].
Il succède à :
Le conseil scientifique de la fondation comprend des universitaires et des témoins de l’époque, ainsi que des correspondants étrangers. Il est présidé de 1999 à par le professeur Alain Larcan, et depuis par Gilles Le Béguec.
La fondation organise des colloques avec des universitaires et des témoins de l’époque, et des conférences destinées à un public moins spécialisé.
Elle publie la revue périodique Espoir.
Elle gère la maison natale de Charles de Gaulle à Lille et le domaine de la Boisserie, son ancienne résidence à Colombey-les-Deux-Églises.
La fondation a contribué à créer :
Une bibliothèque spécialisée et un fonds d’archives sont mis à la disposition des chercheurs et des étudiants dans son centre de recherches et de documentation.
La fondation a reçu de l’État, sur la période courant de 2006 à 2015, une subvention annuelle variant de 710 430 euros à 1,43 million d'euros, contre 20 000 euros en 2005, époque où elle coexistait avec l'institut[4],[5],[6],[7].