Encyclosphere.org ENCYCLOREADER
  supported by EncyclosphereKSF

Lafarre (Haute-Loire)

From Wikipedia (Fr) - Reading time: 11 min

Lafarre
Lafarre (Haute-Loire)
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Haute-Loire
Arrondissement Le Puy-en-Velay
Intercommunalité Communauté de communes des Pays de Cayres et de Pradelles
Maire
Mandat
Philippe Cathonnet
2020-2026
Code postal 43490
Code commune 43109
Démographie
Gentilé Farrous[1]
Population
municipale
79 hab. (2021 en évolution de +21,54 % par rapport à 2015)
Densité 6,1 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 50′ 35″ nord, 3° 59′ 26″ est
Altitude Min. 823 m
Max. 1 192 m
Superficie 13,02 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Velay volcanique
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Lafarre
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Lafarre
Géolocalisation sur la carte : Haute-Loire
Voir sur la carte topographique de la Haute-Loire
Lafarre
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Voir sur la carte administrative d'Auvergne-Rhône-Alpes
Lafarre

Lafarre est une commune française située dans le département de la Haute-Loire en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Domine de 100 mètres la rive gauche de la Loire, le torrent de Langougniole et un autre affluent mineur.

Localisation

[modifier | modifier le code]
Carte
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune de Lafarre se trouve dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].

Elle se situe à 42 km par la route[Note 1] du Puy-en-Velay[2], préfecture du département, et à 32 km de Cussac-sur-Loire[3], bureau centralisateur du canton du Velay volcanique dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Salettes (3,0 km), Vielprat (3,1 km), Issarlès (3,2 km), Lachapelle-Graillouse (4,1 km), Coucouron (4,5 km), Saint-Arcons-de-Barges (5,3 km), Alleyrac (5,4 km), Arlempdes (5,8 km).

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 266 mm, avec 9 jours de précipitations en janvier et 6,3 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Paul-de-Tartas », sur la commune de Saint-Paul-de-Tartas à 8 km à vol d'oiseau[7], est de 7,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 787,7 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Au , Lafarre est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[12],[13].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (56,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (57,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (53,4 %), prairies (39,3 %), zones agricoles hétérogènes (3,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,3 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement

[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 95, alors qu'il était de 93 en 2013 et de 83 en 2008[I 2].

Parmi ces logements, 36,8 % étaient des résidences principales, 55,8 % des résidences secondaires et 7,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 96,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 2,1 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Lafarre en 2018 en comparaison avec celle de la Haute-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (55,8 %) supérieure à celle du département (16,1 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 88,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (87,1 % en 2013), contre 70 % pour la Haute-Loire et 57,5 pour la France entière[I 4].

Le logement à Lafarre en 2018.
Typologie Lafarre[I 2] Haute-Loire[I 5] France entière[I 6]
Résidences principales (en %) 36,8 71,5 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 55,8 16,1 9,7
Logements vacants (en %) 7,4 12,4 8,2

Le village est mentionné pour la première fois au IXe siècle. Il faisait partie de la province du Vivarais et le bailliage de Villeneuve-de-Berg en 1789.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Découpage territorial

[modifier | modifier le code]

La commune de Lafarre est membre de la communauté de communes des Pays de Cayres et de Pradelles[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Costaros. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[15].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement du Puy-en-Velay, au département de la Haute-Loire, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton du Velay volcanique pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 1], et de la deuxième circonscription de la Haute-Loire pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[16].

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1988 ? Gilbert Lashermes    
mars 2001 2020 Michel Pascal[17] DVG  
2020 En cours Philippe Cathonnet[18]    

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

Évolution démographique

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[20].

En 2021, la commune comptait 79 habitants[Note 3], en évolution de +21,54 % par rapport à 2015 (Haute-Loire : +0,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
150207353403402483481481466
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
479493483502528504525516500
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
478497483402360365309270223
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1871371061028372696863
2018 2021 - - - - - - -
7579-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 16 %, soit en dessous de la moyenne départementale (31 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 45,4 % la même année, alors qu'il est de 31,1 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 45 hommes pour 30 femmes, soit un taux de 60 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (49,13 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[I 7]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,0 
11,1 
75-89 ans
10,0 
37,8 
60-74 ans
30,0 
26,7 
45-59 ans
30,0 
13,3 
30-44 ans
6,7 
4,4 
15-29 ans
3,3 
6,7 
0-14 ans
20,0 
Pyramide des âges du département de la Haute-Loire en 2021 en pourcentage[I 8]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
2,5 
8,4 
75-89 ans
11,7 
20,4 
60-74 ans
20,5 
21,3 
45-59 ans
20,3 
16,8 
30-44 ans
16,3 
15,2 
15-29 ans
13,2 
17 
0-14 ans
15,6 
Taux de chômage
Division 2008 2013 2018
Commune[I 9] 7 % 4,8 % 12,8 %
Département[I 10] 6,3 % 7,7 % 7,7 %
France entière[I 11] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 47 personnes, parmi lesquelles on compte 59,6 % d'actifs (46,8 % ayant un emploi et 12,8 % de chômeurs) et 40,4 % d'inactifs[Note 4],[I 9]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département, alors qu'il était inférieur à celui de la France en 2008.

La commune est hors attraction des villes[Carte 2],[I 12]. Elle compte 13 emplois en 2018, contre 9 en 2013 et 14 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 22, soit un indicateur de concentration d'emploi de 58 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 42,4 %[I 13].

Sur ces 22 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 10 travaillent dans la commune, soit 46 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 63,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 31,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
Maison forte du Cros de Lafarre
  • Rives de la Loire et de son affluent le Nadalès ;
  • Gorges de la Langougnole (affluent de la Loire) ;
  • Tour de Mariac, ruines du château de Lafarre (XIe siècle) ;
  • Maison forte du Cros de Lafarre (fin XVIe début XVIIe siècle)[23] ;
  • Église romano-gothique avec son clocher-mur peigne et sa croix de pierre.


Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Le père Édouard Hugon, théologien ayant enseigné au Vatican, est né à Lafarre à la fin du XIXe siècle.

Son frère, l'abbé Henri Hugon (1869-1944), né lui aussi à Lafarre, tour à tour professeur, soldat de la Grande Guerre et missionnaire apostolique[24], écrivit nombreux ouvrages, notamment sur les régions du Velay et des Cévennes. Sa photographie est visible dans l'église Saint-Anthème de Lafarre.

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Notes et cartes

[modifier | modifier le code]
  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee

[modifier | modifier le code]
  1. a b c d e et f Insee, « Métadonnées de la commune de Lafarre ».
  2. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à Lafarre » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Lafarre - Section LOG T2 » (consulté le ).
  4. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Lafarre - Section LOG T7 » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
  6. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  7. « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Lafarre (43109) », (consulté le ).
  8. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Haute-Loire (43) », (consulté le ).
  9. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Lafarre » (consulté le ).
  10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
  11. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  13. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Lafarre » (consulté le ).
  14. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  15. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

Autres sources

[modifier | modifier le code]
  1. « Haute-Loire », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Lafarre et Le Puy-en-Velay », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Lafarre et Cussac-sur-Loire », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches de Lafarre », sur villorama.com (consulté le ).
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Lafarre et Saint-Paul-de-Tartas », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Saint-Paul-de-Tartas », sur la commune de Saint-Paul-de-Tartas - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Saint-Paul-de-Tartas », sur la commune de Saint-Paul-de-Tartas - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. « communauté de communes des Pays de Cayres et de Pradelles - fiche descriptive au  », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
  16. « Découpage électoral de la Haute-Loire (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  17. Liste des maires de la Haute-Loire sur le site de la préfecture (consulté le 27 août 2014).
  18. « Liste des maires » [PDF], Préfecture de la Haute-Loire, (consulté le ).
  19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  23. Régis Thomas, Châteaux de Haute Loire, aux éditions Broché.
  24. Abbé Henri Hugon, Légendes du Velay, suivies de notes et annexes, Musée de Saint-Didier, , 82 p., Préface écrite par Georges Dubouchet, où se trouve une biographie succincte de l'abbé Henri Hugon..

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :


Licensed under CC BY-SA 3.0 | Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Lafarre_(Haute-Loire)
3 views |
↧ Download this article as ZWI file
Encyclosphere.org EncycloReader is supported by the EncyclosphereKSF