Pour la plupart non-reconnus par leur pères, ils sont ensuite enlevés à leurs mères et grandissent dans des orphelinats[3]. Aux indépendances[4], la majorité est envoyée en Belgique[5],[6].
↑« RDC - Rwanda : Moi, Charles, enfant métis arraché à ma mère et expulsé en Belgique - JeuneAfrique.com », JeuneAfrique.com, (lire en ligne, consulté le )
↑« Ni noirs, ni blancs, les enfants métis durant la colonisation belge », RTBF Info, (lire en ligne, consulté le )
↑« Métis, la couleur du péché * 24h01 », 24h01, (lire en ligne, consulté le )
↑Frédéric Moray, « 13.000 métis abandonnés au moment de l’indépendance du Congo parce que c’était mal vu: que sont-ils devenus? », RTL Info, (lire en ligne, consulté le )
Lissia Jeurissen, Métis : le retour des vieux démons coloniaux, Politique, revue de débats, Bruxelles, no 65, . Article à propos de la situation d'exclusion sociale subie par les métis nés de relations belgo-congolaises.