Mazères est une commune rurale qui compte 3 868 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle appartient à l'unité urbaine de Mazères et fait partie de l'aire d'attraction de Mazères. Ses habitants sont appelés les Mazèriens ou Mazèriennes.
Sur le plan historique et culturel, Mazères fait partie du pays de l'Aguanaguès ou plaine d'Ariège, parfois appelé basse Ariège, ou piémont ariégeois. Ce pays, dont l'origine remonte probablement à l'époque carolingienne s'applique à la plaine de Pamiers et, par extension, à celle de Saverdun[1].
La commune de Mazères est située à la pointe nord-est du département de l'Ariège, à 60 kilomètres de la capitale régionale : Toulouse. Elle occupe une situation particulière et privilégiée au carrefour de trois départements : l'Ariège, l'Aude et la Haute-Garonne.
La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de 44,04 km2[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 44,24 km2[8]. L'altitude du territoire varie entre 218 m et 333 m[14].
Située dans la riche plaine agricole de la Basse-Ariège, au pied même des coteaux du Lauragais.
L'Hers-Vif, d'une longueur totale de 134,9 km, prend sa source dans la commune de Prades et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Ariège à Cintegabelle, après avoir traversé 41 communes[18].
Le Raunier, d'une longueur totale de 11,8 km, prend sa source dans la commune de Montaut et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Hers-Vif sur le territoire communal[19].
L'Estaut, d'une longueur totale de 19,5 km, prend sa source dans la commune de Coussa et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Hers-Vif à Belpech, après avoir traversé 11 communes[20].
Le ruisseau du Cazeret, d'une longueur totale de 10,1 km, prend sa source dans la commune de Montaut et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Hers-Vif en limite des communes de Calmont et de Mazères[21].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 748 mm, avec 9,8 jours de précipitations en janvier et 5,4 jours en juillet[22]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Montaut à 8 km à vol d'oiseau[24], est de 13,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 677,1 mm[25],[26]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[27].
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Trois ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[31] :
les « bois de Bébeillac et hauteurs de Calmont » (262 ha), couvrant 8 communes dont 2 dans l'Ariège et 6 dans la Haute-Garonne[32] ;
les « plans d'eau de Mazères » (67 ha), concernant principalement une partie au nord-ouest de la commune, débordant pour petite partire sur la commune de Calmont (Haute-Garonne), cette ZNIEFF recouvre le parc ornithologique de Domaine des oiseaux[34] ;
Au , Mazères est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[37].
Elle appartient à l'unité urbaine de Mazères, une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[38],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mazères, dont elle est la commune-centre[Note 6],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 2 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[39],[40].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (96,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
terres arables (82,1 %), zones agricoles hétérogènes (9 %), zones urbanisées (3,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,6 %)[41]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Mazères en 2018 en comparaison avec celle de l'Ariège et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (5,8 %) inférieure à celle du département (24,6 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 58,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (57,5 % en 2013), contre 66,3 % pour l'Ariège et 57,5 % pour la France entière[I 3].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement d'un cours d'eau, ou ruissellement d'un versant[44].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des glissements de terrains soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles. Près de 50 % de la superficie du département est concernée par l'aléa retrait-gonflement des argiles, dont la commune de Mazères[45]. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune[46].
Le risque de transport de matières dangereuses par une infrastructure routière ou ferroviaire ou par une canalisation de transport de gaz concerne la commune. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[47].
Dans le département de l’Ariège on dénombre cinq grands barrages susceptibles d’occasionner des dégâts en cas de rupture. La commune fait partie des 80 communes susceptibles d’être touchées par l’onde de submersion consécutive à la rupture d’un de ces barrages[48].
Mazères devint, de la fin du XVIe siècle au milieu du XVIIe siècle, une très forte citadelle protestante. Des Frères moraves s'y installent : réveil protestant francophone.
Son économie fut dominée par l'agriculture et en particulier pendant deux siècles, par la culture du pastel (en 1462, 20 tonnes de coques sont produites à Mazères).
Devenu un centre commercial très actif, Mazères subit une grave fracture de 1914 à 1918.
Une briqueterie désaffectée est utilisée en 1939 pour interner les anarchistes espagnols, réfugiés en France lors de la Retirada, après la guerre d'Espagne[50].
Le nombre d'habitants au recensement de 2017 étant compris entre 3 500 habitants et 4 999 habitants au dernier recensement, le nombre de membres du conseil municipal est de vingt sept[53],[54].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[57]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[58].
En 2021, la commune comptait 3 868 habitants[Note 7], en évolution de +1,1 % par rapport à 2015 (Ariège : +1,38 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Football : L'ENM section Football propose 2 équipes Séniors masculines, une équipe féminine Séniors et une équipe Vétérans. Son école de foot BALE Basse Ariège L'auragais Entente propose du foot pour tous de 5 à 19 ans.
L'association Mazères Course Pédestre organise tous les ans en mai les Foulées de Mazères[66] et désormais la Corrida Pédestre pendant les fêtes du village fin juillet.
La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes des Portes d'Ariège - Pyrénées[67].
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 2 253 personnes, parmi lesquelles on compte 80,3 % d'actifs (71,1 % ayant un emploi et 9,2 % de chômeurs) et 19,7 % d'inactifs[Note 10],[I 8]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 la situation était inverse.
Sur ces 1 625 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 632 travaillent dans la commune, soit 39 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 84,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,2 % les transports en commun, 8,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].
342 établissements[Note 11] sont implantés à Mazères au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12],[I 15].
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
51
14,9 %
(12,9 %)
Construction
42
12,3 %
(14,2 %)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
93
27,2 %
(27,5 %)
Information et communication
4
1,2 %
(1,8 %)
Activités financières et d'assurance
12
3,5 %
(2,8 %)
Activités immobilières
16
4,7 %
(4,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
39
11,4 %
(13,2 %)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
52
15,2 %
(14,4 %)
Autres activités de services
33
9,6 %
(8,8 %)
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 27,2 % du nombre total d'établissements de la commune (93 sur les 342 entreprises implantées à Mazères), contre 27,5 % au niveau départemental[I 16].
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[69] :
HBF, commerce de gros (commerce interentreprises) de matériel électrique (50 251 k€)
Gardner Aérospace Mazères, construction aéronautique et spatiale (30 100 k€)
Denjean Logistique, entreposage et stockage non-frigorifique (19 282 k€)
Société ariégeoise de transports et de travaux publics - SATTP, transports routiers de fret de proximité (10 661 k€)
Keolis Garonne, transports routiers réguliers de voyageurs (6 751 k€). La société des Cars Dussert fut fondée en 1922 à Mazères par Gabriel Dussert. Transmise par la suite à son fils Guy Dussert, elle comptait, à son rachat en mars 2007 par le Groupe Keolis Garonne, 60 cars et autant de chauffeurs.
Installation de l'usine de fonderie de précision Taramm en 2017, elle avait été détruite en partie par un incendie en 2015 sur son site historique de Labège.
La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Plaine de l'Ariège »[70]. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est la production de céréales et oléoprotéagineux[71].
1988
2000
2010
Exploitations
83
53
49
Superficie agricole utilisée (ha)
3 519
3095
2575
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 83 lors du recensement agricole[Note 14] de 1988 à 53 en 2000 puis à 49 en 2010[71], soit une baisse de 41 % en 22 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 48 % de ses exploitations[73]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 3 519 ha en 1988 à 2 575 ha en 2010. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 42 à 53 ha[71].
Le domaine des oiseaux, parc ornithologique communal d'une centaine d'hectares comprenant des lacs, des observatoires et divers équipements d'accueil du public, au nord-ouest de la commune. Hors périodes de migration (printemps et automne), on y observe des cigognes sédentaires et des oies cendrées.
L'église Saint-Abdon et Saint-Sennen de Mazères et la place de l'église. Une partie du chœur de l’église a été construite à la fin du XVIIe siècle, puis l'édifice est agrandi aux XVIIIe et XIXe siècles. Le clocher date de 1830, la flèche de 1885. À l'intérieur, un maître autel, des stalles provenant de la deuxième abbaye de Boulbonne et un ensemble de 5 grandes toiles peintes des XVIIIe et XIXe siècles.
Adjacente à l’église et inscrite à l'inventaire des monuments historiques en 2004, la grande halle (1845-1851) à l'imposante charpente reçoit chaque jeudi un marché traditionnel. Autour de cette place, un ensemble de maisons à colombages du XVIIe siècle.
L’hôtel d'Ardouin (musée de Mazères)[74] au 22 rue de la République est un bâtiment "pastelier" construit en 1580 aux façades de briques et fenêtres à meneaux. Par l'escalier à vis de la tour octogonale, on accède à une terrasse dominant la ville. Séminaire du diocèse de Mirepoix en 1697, propriété de la ville depuis 1741, il abrite le musée Ardouin. Celui-ci présente l'exposition permanente "Barbares en Gaule du Sud", résultat des fouilles de la nécropole de l'époque des Wisigoths puis des Francs (Ve – VIIIe siècle). Des objets néolithiques, des chapiteaux provenant de la première abbaye de Boulbonne (XIIIe – XIVe siècles), une évocation de Gaston Fébus et la maquette de son château mazérien, ainsi qu'une documentation sur la culture du pastel clôturent la visite du musée.
En remontant la rue Castellane, au 17 et 34, des façades à colombages et encorbellement, puis sur la gauche, rue Boulbonne, le temple protestant construit au XIXe siècle.
La rue Castellane débouche rue du Temple : les no 2 et 5 sont d'anciennes maisons des "Dames Régentes" où furent gardées prisonnières des filles de familles protestantes au milieu du XVIIIe siècle. Dans la rue parallèle, la rue du Pont-Vieux, au no 47 se trouve un immeuble du XVIIIe siècle (étages séparés par des cordons, ouvertures en plein cintre encadrées de pilastres) et surtout au 36 la Tour-Martimor ou du Boutou (XVIIe) avec fenêtre à double cintre, et un blason du XVe replacé sur la façade.
Promenade historique en suivant la rue Gaston-de-Foix, on passe au 17-19 devant un bâtiment du XVIIIe avec deux ailes entourant une cour. La rue Martimor la prolonge, riche en hôtels et maisons particulières remarquables.
au 28 : maison XVIIe avec colombages sur deux étages
au 10 : hôtel Martimor, avec façade à deux étages et deux ailes encadrant la cour, décors de stucs aux fenêtres grilles en fer forgé avec décor "à la grecque" (XVIIIe)
au 7 : fenêtres en plein cintre (XVIIIe siècle)
au 9 : façade de briques et sculptures en pierre du XVIIe siècle
aux 12-17-19 : maisons du début du XVIIIe siècle ;
puis les remparts de la bastide démolis au XVIIe siècle. Place des Tourelles, l'église de l'ancien couvent des Dominicains de style néogothique (1876-1878), ancien séminaire puis propriété de la ville (salles de réunion), s'élève dans un vaste jardin public. Dans les flancs nord de cette place se trouvent des vestiges des remparts en briques ;
puis sur la place du 11-Novembre avec son monument aux morts (1927) et à quelques pas de cette place se trouve la mairie (rue de l'Hôtel-de-Ville). Construite en 1575, elle s'appelait alors la Castellane. Elle abrita Marguerite de Navarre et le futur Henri IV lors de leur séjour à Mazères puis devint château des abbés de Boulbonne (1629). Cet hôtel a été démoli puis reconstruit en 1978. Seule l'aile gauche date de l'époque de construction (fenêtres à meneaux). Après avoir suivi le boulevard des Comtes-de-Foix, on aboutit à l'allée des Soupirs, emplacement de l’ancien château des comtes de Foix.
et enfin sur les rives de l’Hers : Depuis la rive droite de l'Hers, récemment aménagée, on peut voir l'arche du "Vieux Pont" emporté par une crue en 1875. Le nouveau pont, lui, date de 1882. En longeant la rive droite, on arrive près d'un lavoir alimenté par une source, tout à côté de l’Auberge de l'Hers installée dans un ancien établissement de Bains (fin du XIXe siècle). En face sur la rive gauche se trouve le moulin de Gaillard, ancien moulin de l'abbaye de Boulbonne (blason), actuellement usine hydro-électrique.
Autres monuments
Monument souvenir aux victimes de l'accident du 25 mars 1958 avec les statues de Notre-Dame de Lourdes et de sainte Bernadette (sur la Route Tarbes Toulouse à Saint-Laurent-de-Neste, à proximité de la zone artisanale Pic Pyrénées Innovation).
Temple de l’Église protestante unie de France.
Les couverts vus depuis la halle inscrite à l'inventaire des monuments historiques en 2004.
Monument souvenir aux victimes de l'accident du 25 mars 1958 (par la paroisse de Mazères sur l'Hers) avec les statues de Notre-Dame de Lourdes et de sainte Bernadette (sur la Route Tarbes Toulouse à Saint-Laurent-de-Neste, à proximité de la zone artisanale Pic Pyrénées Innovation).
L'Association pour le développement du tourisme à Mazères a édité trois livres :
Pierre Duffaut, Histoire de Mazères, ville maîtresse et capitale des comtes de Foix, 1988, 802 p.
Roger Armengaud, Boulbonne, le Saint-Denis des comtes de Foix, 1993, 328 p.
Simone Guybert-Martimor, Une famille du Comté de Foix du Moyen Âge à nos jours (1460-1995) , les Martimor, Mirepoix, Laroque-d'Olmes, Mazères, 1995, 177 p.
Société académique d'architecture, Les bastides du Lauragais et du pays de Foix : Carcassonne, Chalabre, Mazères, Mirepoix, Montgeard, Revel, Roquefixade, Saint-Félix-Lauragais, Villefranche-de-Lauragais, Diagram, Toulouse, 1991, 32 p.
↑Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
↑La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
↑Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[28].
↑Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
↑Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
↑La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
↑Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
↑L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
↑Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
↑L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
↑Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[72].
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )