Milarepa | ||||||||
Auteur | Éric-Emmanuel Schmitt | |||||||
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Pays | France | |||||||
Genre | Récit | |||||||
Éditeur | Albin Michel | |||||||
Lieu de parution | Paris | |||||||
Date de parution | 1997 | |||||||
Nombre de pages | 63 | |||||||
ISBN | 978-2226093523 | |||||||
Metteur en scène | Bruno Abraham-Kremer[1],[2], Stanislas Grassian[3], ... | |||||||
Chronologie | ||||||||
Série | Le Cycle de l'invisible | |||||||
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Milarepa est un récit d'Éric-Emmanuel Schmitt écrit pour Bruno Abraham-Kremer et mise en scène au théâtre.
Milarepa est le premier volet du Cycle de l'invisible qui comprend sept autres récits : Monsieur Ibrahim et les Fleurs du Coran, Oscar et la Dame rose, L'Enfant de Noé , Le Sumo qui ne pouvait pas grossir, Les Dix Enfants que madame Ming n'a jamais eus, Madame Pylinska et le secret de Chopin et Félix et la source invisible.
Chaque nuit, dans le Paris d'aujourd'hui, Simon rêve d'un yogi tibétain qui autrefois haïssait son neveu, nommé Milarépa. Pour arrêter ce phénomène, il doit raconter leur histoire[4],[5],[6],[7].
Pour Michel Meyer l'ouvrage de Schmitt, Milarepa, évoque le bouddhisme et rappelle Siddharta de Hermann Hesse[5].
Milarepa a été mis en scène et représenté non seulement en France, notamment au Festival d'Avignon mais également dans de nombreux pays européens : Belgique, Allemagne, Finlande... À Avignon, la mise en scène est assurée à l'origine, en 1997, par Bruno Abraham-Kremer, également comédien dans la pièce[1],[2] puis en 2015 par Stanislas Grassian[3].
Le récit a été traduit en allemand, anglais, bulgare, castillan, chinois, coréen, danois, estonien, grec, islandais, italien, japonais, lituanien, néerlandais, perse, polonais, portugais roumain, russe, serbe et turc[8].