Dans ses Esquisses sénégalaises (1853), l'abbé Boilat les décrivait ainsi : « C'est une belle race noire. Les hommes sont grands et de fort belle constitution [...], tous assez bien vêtus [...], très doux, mais d'un caractère ferme et indépendant »[2].
Dans le Diobas, fabrication d'une boisson enivrante au moyen d'une infusion de mil fermentée (AOF).
Ils ont très souvent échappé à la domination des royaumes du Cayor et du Baol.
Ousmane Sémou Ndiaye, [3] « Diversité et unicité sérères : l'exemple de la région de Thiès » in Éthiopiques, no 54, nouvelle série, volume 7, 2e semestre 1991
Sidi Sissokho, Étude des rapports entre les Noon de Thiès et la ville de Thiès : 1890-1990. Repli socio-culturel, Dakar, Université Cheikh Anta Diop, 1991, 93 p. (Mémoire de Maîtrise)
Sidi Sissokho, Contribution à l’étude du changement culturel en milieu urbain sénégambien : 1860-1992. Étude de cas chez les Noon de la ville de Thiès, Dakar, Université Cheikh Anta Diop, 1992, 38 p. + ann. (Mémoire de DEA)