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Olley

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Olley
Olley
Église paroissiale Saint-Rémy.
Blason de Olley
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Briey
Intercommunalité Communauté de communes Orne Lorraine Confluences
Maire
Mandat
David Buono
2020-2026
Code postal 54800
Code commune 54408
Démographie
Gentilé Les Culs brûlés[1]
Population
municipale
223 hab. (2022 en évolution de −9,72 % par rapport à 2016)
Densité 24 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 09′ 56″ nord, 5° 45′ 48″ est
Altitude Min. 189 m
Max. 223 m
Superficie 9,48 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Jarny
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Jarny
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Olley
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Olley
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Olley
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Olley

Olley est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle en région Grand-Est.

Géographie

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Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau de la Carpière, le ruisseau de la Taupine et l'Orne[2],[Carte 1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique d'Olley[Note 1].

Un plan d'eau complète le réseau hydrographique : l'étang de Neuvron (8,4 ha)[Carte 1],[3].

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Bassin ferrifère ». Ce document de planification concerne le périmètre des anciennes galeries des mines de fer, des aquifères et des bassins versants hydrographiques associés qui s’étend sur 2 418 km2. Les bassins versants concernés sont celui de la Chiers en amont de la confluence avec l'Othain, et ses affluents (la Crusnes, la Pienne, l'Othain), celui de l'Orne et ses affluents et celui de la Fensch, le Veymerange, la Kiesel et les parties françaises du bassin versant de l'Alzette et de ses affluents (Kaylbach, ruisseau de Volmerange). Il a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est la région Grand Est[4].

La qualité des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montagnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 846 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rouvres-en-woevre », sur la commune de Rouvres-en-Woëvre à 8 km à vol d'oiseau[7], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 668,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,2 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −15,4 °C, atteinte le [Note 2],[8],[9].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[10]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Au , Olley est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle est située hors unité urbaine[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Jarny, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[13]. Cette aire, qui regroupe 8 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (88,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (62,7 %), prairies (25,7 %), forêts (8,2 %), zones urbanisées (3,3 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le nom de la localité est attesté sous les formes Aulegia (1052) ; Cella de Aulegia (1115) ; Oulié (XIIIe siècle) ; Prioratus Aulegie (XIIIe siècle) ; Olei (1200) ; Olleez (1275) ; Oleies, Olees (1294) ; Oley (1429) ; Ollée, Ollié (1689)[17].

L'hypothèse ancienne selon laquelle Olley ferait référence à l’huile, pour « pays d'huile, lieu où poussaient des oléagineux » repose sur une vague ressemblance entre l'ancien français oile « huile » (issu du gallo-roman OLEU < latin oleum)[18] et les formes romanes, mais elle est infirmée par la forme la plus ancienne Aulegia. L'hypothèse selon laquelle la fleur de navette, destinée à produire de l'huile pour lampe, auraient été cultivée sur le territoire de la commune, explique quant-à-elle l'origine du blason représentant une lampe à huile, mais elle n'a aucun lien avec l'étymologie du toponyme.

C'est pourquoi les spécialistes n'évoquent même pas cette piste mais hésitent cependant sur l'étymologie à donner à ce nom de lieu. Albert Dauzat, suivi en cela par Pierre-Henri Billy et Marie-Thérèse Morlet, supposent la fixation de manière absolue de l'anthroponyme gaulois *Aulidius[19],[20],[21] (non attesté). Un autre ouvrage propose un nom de personne latin Aulus[réf. incomplète][22] suivi d'un autre élément[Lequel ?].

Remarque : certaines formes anciennes ont une terminaison identique (-ie, -ee(s), -ei(s)) à celle du type Athée, Athie, Athies, Athis du domaine d'oïl qui remontent tous au gaulois bien identifié attegia « hutte, cabane ».

Le nom jeté des habitants d’Olley est adopté comme gentilé par référendum local du . Les habitants l'ont préféré à l'alternative « les Olleysiens »[23].

Au Moyen-Âge, le village était connu pour sa production d'huile pour lampes, issue des fleurs de navette desquelles l'on tirait autrefois l'huile nécessaire à l'éclairage. Le produit était réputé de mauvaise qualité, au point qu'il noircissait le fond des lampes. Cela a pu donner l'idée de surnommer les personnes vivant à Olley les « Culs brûlés »[24].

Ce sobriquet remonte à des temps anciens où la langue locale n'était pas le français actuel. Le mot cul n'avait le sens vulgaire d'aujourd'hui. Il était tout au plus familier.

À propos du sobriquet, on ne doit pas négliger la possibilité d'une rime patoise : Olley, les culs brûlès ou les culs brûlés d'Ollée . Les habitants d'Ogéviller partagent le même sobriquet que ceux d'Olley et dans ce cas, la rime ne fait guère de doute. À la lecture des ouvrages consacrés à l'étude des sobriquets et quolibets régionaux, tout particulièrement celui de Jean Vartier[25], et bien que cela reste une hypothèse, on peut penser que comme dans de nombreux cas similaires, on a affaire à une rime facile : « Olley, les culs brulès » — dans le même style que « Parisien, tête de chien » ou « Parigot, tête de veau »[26],[27]. Les habitants de Morhange sont également surnommés les culs brûlés mais pour des raisons historiques : la ville a été entièrement incendiée en 1401.

Au Moyen Âge, le village dépendait de la province du Barrois.

Par le traité du 28 février 1661, le roi de France garde la moitié du ban d'Olley. L'autre moitié est rendue au duc de Lorraine[28].

Selon un Arrest de la cour souveraine de Lorraine et Barrois en date du 21 janvier 1718, la souveraineté du village et de ses dépendances revient en entier au duc de Lorraine, par échange avec le roi de France[29].

Selon l'édit du duc de Lorraine du 12 juillet 1718, Olley est rattaché à la prévôté de Preny[30].

La bibliothèque municipale de Nancy détient les pièces d'un procès entre Messire Jacques-Marc-Antoine de Mahuet, seigneur d'Olley, Bettainvillers et Létricourt contre les chanoines réguliers de la maison Saint-Antoine de Pont-à-Mousson en 1738[31].

En 1903, le procureur de la République de Briey se rend à Olley pour notifier la fermeture de l'école communale publique tenue par des religieuses catholiques. Elles refusaient de quitter les lieux[32].


Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant avril 1869   Hubert-Godefroy Joly[33]    
  juin 1914 François Lesse[34]   démissionnaire
1971 1989 Lucien Rossinot   Instituteur
    Jean Victor Joly    
mars 2001 2014 Yvon Buchart    
2014 mai 2020 Catherine Cieslewicz    
mai 2020 En cours David Buono[35]   Professeur

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[37].

En 2022, la commune comptait 223 habitants[Note 4], en évolution de −9,72 % par rapport à 2016 (Meurthe-et-Moselle : −0,13 %, France hors Mayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1836 1841 1861 1866 1872
339280348344389421334326316
1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921
359371375377351356341315251
1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
243228249255304309342315271
1990 1999 2006 2007 2012 2017 2022 - -
224212231234258238223--
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Édifices civils

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  • Présence gallo-romaine.
  • Sarcophages à « figures de marelles ».
  • Traces du château fort de Neuvron du XVIIIe siècle à deux kilomètres d’Olley. À son emplacement se trouve une ferme dont les bâtiments sont de 1712 (aujourd'hui GAEC de Neuvron)[40].
  • Ancien château près de l'église détruit au XVIIIe siècle.

Édifices religieux

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Ancien ossuaire.
  • Église paroissiale Saint-Rémy classée au titre des monuments historiques dès 1875[41] ; édifice de type champenois construit à la seconde moitié du XIe siècle[40] ; fortifié en 1595 ; clocher refait à partir de 1845.
  • Fondation au XIe siècle d'un prieuré de l'abbaye de Saint-Arnoul de Metz ; acquis par l'abbaye de Gorze vers 1200, disparu au XIVe siècle.
  • Presbytère construit en 1767 pour monsieur Collignon, curé d'Olley, Jeandelize et Boncourt. Tête du XIIe siècle et chapiteau XVIe siècle remployés
  • Ancien ossuaire daté 1541, avec cadran solaire sur l'angle sud-ouest et trois crânes humains encastrés en façade, endommagée pendant la guerre de 1870. Il est classé au titre des monuments historiques par arrêté du [42].

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason de Olley Blason
Blasonnement : d'argent à la lampe à huile de gueules allumée d'or, au chef d'azur chargé de deux quartefeuilles aussi d'or, feuillées du même et boutonnées aussi de gueules.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

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Bibliographie

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  • M. Viançon, Notice sur Neuvron dans le Bulletin de la Société d'archéologie et d'histoire de la Moselle, vol. 7-9, éditeur Rousseau-Pallez, Metz, 1864, p. 15-18 [lire en ligne]

Articles connexes

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Liens externes

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  • « Olley », Monographies communales de Meurthe-et-Moselle réalisées pour l'exposition universelle de 1889 et conservées par les Bibliothèques de Nancy, sur galeries.limedia.fr

Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  1. a et b « Réseau hydrographique d'Olley » sur Géoportail (consulté le 4 juin 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « "Vive les Culs brûlés" : les habitants du petit village d’Olley ont choisi leur nom officiel » Accès libre, sur france3-regions.francetvinfo.fr, (consulté le )
  2. « Fiche communale d'Olley », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
  3. « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le ).
  4. « SAGE Bassin ferrifère », sur gesteau.fr (consulté le ).
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Olley et Rouvres-en-Woëvre », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Rouvres-en-woevre », sur la commune de Rouvres-en-Woëvre - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Rouvres-en-woevre », sur la commune de Rouvres-en-Woëvre - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  12. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Jarny », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. Ernest de Bouteiller, Dictionnaire topographique de la France : Dictionnaire topographique du département de la Moselle, Paris, Impr. nationale, , p. 193.
  18. Site du CNRTL : Étymologie d’huile (lire en ligne) [1]
  19. Charles Rostaing et Albert Dauzat, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Guénégaud, (ISBN 978-2-85023-076-9), p. 507a
  20. Pierre-Henri Billy, Origine des noms des villes et des villages de France, FAMOT,
  21. Marie-Thérèse Morlet, les noms de personnes sur le territoire de l'ancienne gaule III, CNRS,
  22. Aude Wirth, Les noms de lieux de Meurthe & Moselle: dictionnaire étymologique, Louis, (ISBN 978-2-914554-43-5), p. 226
  23. « Meurthe-et-Moselle. Les habitants d'Olley ont voté : ils s’appelleront les Culs brûlés ! », sur www.republicain-lorrain.fr (consulté le )
  24. Paul-Émile Bouchy, « Lorraine. Surnommés "les culs brûlés", les habitants de ce village votent pour choisir leur nom officiel », sur actu.fr, .
  25. Jean Vartier, Sobriquets et quolibets de Lorraine et du Bassigny, Jarville-la-Malgrange, Éditions de l'Est, , 217 p. (ISBN 2-86955-065-0)
  26. Jean Spaite, Saint patronage et sobriquets, Nancy, Apache Color, , 245 p.
  27. « Blason populaire, cartographie des blasons populaires (sobriquet par village, sobriquets) en langue lorraine-romande et en picard », sur cherbe.free.fr (consulté le )
  28. Société d'histoire de la Lorraine et du Musée lorrain Auteur du texte et Palais des ducs de Lorraine-Musée lorrain (Nancy) Auteur du texte, « Mémoires de la Société d'archéologie lorraine », sur Gallica, (consulté le ), p. 48-49
  29. Lorraine (Duché) Auteur du texte, Arrests choisis de la Cour souveraine de Lorraine et Barrois, contenant la décision de plusieurs questions notables.... Partie 2, 1717-1722 (lire en ligne), p. 537
  30. Société d'histoire de la Lorraine et du Musée lorrain Auteur du texte et Palais des ducs de Lorraine-Musée lorrain (Nancy) Auteur du texte, « Mémoires de la Société d'archéologie lorraine », sur Gallica, (consulté le ), p. 88-89
  31. Bibliothèques de Nancy Auteur du texte, Catalogue des livres et documents imprimés du Fonds lorrain de la Bibliothèque municipale de Nancy , dressé et publié sous la direction de J. Favier,... [Préface de Ch. Pfister.], (lire en ligne), p. 454
  32. « Bulletin des congrégations... », sur Gallica, (consulté le ), p. 380
  33. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6586919p/f1.item.r=%22%20Olley%20%22.zoom
  34. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k45464077/f3.item.r=%22%20Olley%20%22.zoom
  35. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  39. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
  40. a et b Bulletin de la Société d'archéologie et d'histoire de la Moselle, vol. 7-9, éditeur Rousseau-Pallez, Metz, 1864, p. 15-18
  41. « Église Saint-Rémy », notice no PA00106325, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  42. « Ossuaire (ancien) », notice no PA00106326, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.

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