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Quincy Jones

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Quincy Jones
Quincy Jones en 2014.
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 91 ans)
Bel AirVoir et modifier les données sur Wikidata
Sépulture
Nom dans la langue maternelle
Quincy Delight Jones, Jr.Voir et modifier les données sur Wikidata
Surnom
QVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Formation
Berklee College of Music
Garfield High School (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Période d'activité
Père
Quincy Delight Jones (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Mère
Sarah Frances Wells (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Fratrie
Richard A. Jones (en) (frère consanguin)Voir et modifier les données sur Wikidata
Conjoints
Jeri Caldwell (d) (de à )
Ulla Andersson (en) (de à )
Peggy Lipton (de à )Voir et modifier les données sur Wikidata
Enfants
Quincy Jones III
Kidada Jones
Rashida Jones
Kenya Kinski-Jones
Jolie Jones (d)
Martina Jones (d)
Rachel Jones (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Membre de
Taille
1,68 mVoir et modifier les données sur Wikidata
Cheveux
Yeux
Marron foncé (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Instrument
Labels
Maître
Genres artistiques
Influencé par
Site web
Distinctions
Discographie
Discographie de Quincy Jones production (en), discografia de producció de Quincy Jones (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Marque ou logotype

Quincy Delight Jones Jr., dit Quincy Jones [ˈkwɪnsi d͡ʒoʊnz][1] et surnommé « Q » [kjuː][1], né le à Chicago (Illinois) et mort le à Los Angeles (Californie)[2], est un trompettiste, arrangeur, compositeur, réalisateur et producteur américain.

Considéré comme l'un des plus grands producteurs de musique, il est notamment connu pour le trio qu'il forma avec Bruce Swedien (ingénieur du son) et Michael Jackson sur les albums Off the Wall (1979), Thriller (1982) et Bad (1987) de ce dernier.

Quincy Jones a remporté 28 Grammy Awards[3] (pour 80 nominations[4]) ainsi qu'un Grammy Legend Award en 1992[5].

Il a obtenu des succès personnels avec le titre Soul Bossa Nova (1962) et sa reprise d’Ai No Corrida (1981).

Jeunesse et formation

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Né à Chicago[6], Quincy Jones est le fils de Quincy Delight (un charpentier) et de Sarah Wells Jones[7]. Il connaît une enfance difficile : pauvreté et une mère internée pour maladie mentale. Après plusieurs déménagements, son père s'installe dans la banlieue de Seattle, à Bremerton, dans l'État de Washington[8],[9]. C’est là que Quincy Jones commence à s'intéresser à la musique.

Il s’essaie d’abord en autodidacte au piano, puis apprend la trompette à l’école. À treize ans, il reçoit quelques cours de Clark Terry, lors d’un passage de l’orchestre de Count Basie à Seattle. La situation financière de la famille est difficile, en dehors de ses heures d’école, il exerce l’activité de cireur de chaussures. Il fait la connaissance de Ray Charles, son aîné de trois ans. Les deux amis forment un combo qui se produit dans les clubs de la ville. Quincy Jones fait aussi partie d’orchestres locaux. À dix-huit ans, il obtient une bourse pour poursuivre ses études au Berklee College of Music de Boston.

Quincy Jones quitte assez vite le collège pour intégrer l’orchestre de Lionel Hampton[10] comme trompettiste et arrangeur. Malgré un salaire dérisoire[11], il reste quatre ans dans ce big band avec lequel il fait une tournée en Europe. Il s’installe ensuite un temps à New York où il exerce comme trompettiste mais surtout arrangeur « free lance ». Il écrit des arrangements pour de nombreux musiciens (Tommy Dorsey, Gene Krupa, Sarah Vaughan, Count Basie, Dinah Washington, Cannonball Adderley, Ray Charles, etc.).

En 1956, il est engagé par Dizzy Gillespie comme trompettiste et directeur musical de son big band pour une tournée organisée par le département d'État au Moyen Orient et en Amérique du Sud. Pendant cette tournée, il fait la connaissance de Lalo Schifrin, pianiste-compositeur-arrangeur-chef d'orchestre. Peu après, il enregistre son premier disque comme chef d’orchestre pour le label ABC Paramount Records.

En 1957, Quincy s’installe à Paris où il étudie auprès de Nadia Boulanger, directrice du Conservatoire américain de Fontainebleau[12], et travaille comme « staff arranger » pour le label d’Eddie Barclay (pour des artistes tels que Henri Salvador, Charles Aznavour, Jacques Brel, etc.). Le groupe Les Double Six enregistre un album consacré à ses compositions. Le temps d’une tournée européenne, il est le directeur de la troupe qui joue la comédie musicale Free and easy d'Harold Arlen. En 1960, il forme un big band avec dix-huit musiciens. Malgré la qualité musicale de l’orchestre, l’expérience se solde par un fiasco financier, et pousse Quincy Jones au bord de la dépression.

Il retourne aux États-Unis où, grâce à l'aide d'Irving Green, il devient arrangeur puis directeur musical du label Mercury Records. C’est dans ce cadre qu’il va arranger des dizaines d’albums de jazzmen mais aussi, et surtout, d’artistes comme Frank Sinatra, Barbra Streisand, Nana Mouskouri ou encore Tony Bennett. En 1964, il est nommé vice-président du label. La même année il écrit sa première musique de film pour Le Prêteur sur gages de Sidney Lumet puis en écrit d'autres dans les années qui suivent.

Il travaille aussi pour la télévision : musiques de L'Homme de fer, Sanford and Son et du Bill Cosby Show (en). Il milite dans de nombreux mouvements anti-racistes et sociaux auprès de Martin Luther King ou du révérend Jesse Jackson. Il aide financièrement l'IBAM (« Institute for Black American Music ») et est un des fondateurs du « Black Arts Festival » de Chicago. En 1973, Quincy Jones coproduit pour CBS Duke Ellington, We Love You Madly, une émission télévisée en hommage à l’œuvre du Duke à laquelle participent Sarah Vaughan, Aretha Franklin, Peggy Lee, Count Basie, Joe Williams, et le groupe Chicago. En parallèle à son activité de producteur et de compositeur, Quincy Jones continue à enregistrer des disques, pour plusieurs labels, sous son nom, souvent plus proches du rhythm and blues, du funk ou de la pop que du jazz.

Quincy Jones en 1989.

En , il est victime d’une rupture d'anévrisme et subit deux importantes opérations. Après six mois d’arrêt, il reprend une intense activité.

Il est le directeur musical du film The Wiz pour le compte de la mythique maison de disques Motown. C'est sur le tournage qu'il rencontre le jeune Michael Jackson qui est à la recherche d'un nouveau producteur pour lancer sa carrière solo. Il produit ainsi en Off the Wall, le cinquième album de Michael Jackson mais son 1er album en tant qu’adulte et son 1er chez le label Epic Records. Cet album est un succès commercial mais l'apothéose vient en avec le suivant, Thriller, qui reste à ce jour l'album le plus vendu de tous les temps avec plus de 60 millions d'exemplaires vendus. Après un troisième album, Bad (1987), qui est encore un succès, Michael Jackson se sépare de Quincy Jones, mais la fortune de ce dernier est définitivement assurée.

Sa situation financière lui permet d'acheter les droits d'édition de compositions de nombreux musiciens (il possède actuellement des droits sur environ 1 600 titres). Elle lui permet aussi d'être, en 1985, coproducteur du film de Steven Spielberg La Couleur pourpre (The Color Purple). La même année, il est coorganisateur de l'enregistrement de We Are the World, titre humanitaire contre la famine en Éthiopie (1984-1985). En 1988, il remixe Blue Monday de New Order.

Quincy Jones n'oublie pas pour autant le jazz. En 1991, par exemple, il dirige au festival de Montreux l'orchestre qui accompagne Miles Davis pour la reprise des arrangements écrits par Gil Evans. En 1993, Quincy Jones et David Salzman organisent le concert d'investiture du président Bill Clinton.

Autres activités : diversification

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Jones et Salzman fondent la compagnie « QDE » (Quincy Jones/David Salzman Entertainment) qui produit aussi bien de la musique, des pièces de théâtre, des films, des émissions télévisées — dont Le Prince de Bel-Air (The Fresh Prince of Bel-Air) pour NBC-TV — et d'autres produits multimédias. QDE, dont Quincy Jones est le PDG, édite aussi le magazine Vibe.

En 2009, les marques d'accessoires audio AKG ainsi que JBL éditent une ligne d'accessoires audio avec sa signature. Une partie des recettes est versée à l’organisation soutenant l'éducation musicale, fondée par Quincy Jones[13],[14],[15].

Quincy Jones fonde son propre label, Qwest Records, puis, en 2017, avec le producteur français Reza Ackbaraly, il lance Qwest TV[16], le premier service de vidéo à la demande par abonnement (SVOD) consacré au jazz et à ses musiques affiliées du monde entier. La plateforme propose une sélection de concerts, d'interviews, de documentaires et de contenus originaux et exclusifs, sans publicité[17].

Vie privée

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Quincy Jones a été marié trois fois et a eu sept enfants de cinq compagnes différentes :

Quincy Jones meurt le à Los Angeles, à l'âge de 91 ans, des suites d'un cancer du pancréas que rien ne laissait transparaître[29]. Sa famille exprime dans un communiqué sa tristesse face à cette perte, tout en célébrant « la grande vie qu'il a vécue »[30]. Il est inhumé au Hollywood Forever Cemetery[31].

Décoration

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En 2001, Quincy Jones est fait commandeur de la Légion d'honneur par Jacques Chirac.

Le concert pour son 75e anniversaire a lieu en Suisse au festival de Jazz de Montreux 2008[32].

Pour célébrer son 85e anniversaire, un concert événement se tient également à Montreux le dimanche , avec notamment Ibrahim Maalouf, Nate Smith Kinfolk, Jade Elliott, Nik West, Ezra Collective, Richard Bona, Jacob Collier, Alfredo Rodriguez, Talib Kweli, Jowee Omicil et bien d'autres.

En 2019, il est le parrain sur scène des concerts Quincy Jones Presents Off the Wall, Thriller & Bad et Quincy Jones Presents Soundtrack Of The 80's[33].

Le compositeur japonais Joe Hisaishi (de son vrai nom Mamoru Fujisawa), compositeur des films de Hayao Miyazaki et de Takeshi Kitano, a choisi son pseudonyme en hommage à Quincy Jones[34]. En effet, en utilisant une des autres lectures de son premier kanji, le nom 久石 (Hisaishi?) pourrait aussi être lu comme « Kuishi », qui est proche de la prononciation japonaise de « Quincy » (Kuinshī), et « Joe » vient naturellement de « Jones ».

Filmographie

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Télévision

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Discographie

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Albums studio

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  • The Quincy Jones ABC/Mercury Big Band Jazz Sessions (sorti en 2008)
    • disque 1 : This Is How I Feel About Jazz et Quintessence
    • disque 2 : The Birth of a Band et The Birth of a Band (bonus tracks)
    • disque 3 : The Great Wide World of Quincy Jones et I Dig Dancers
    • disque 4 : The Zurich Concert et Zurich Jam Sessions
    • disque 5 : The Newport Concert et We Had a Ball
  • Jazz Round Midnight, Quincy Jones, chez Verve (314 537 702-2)
  • Quincy Jones's Finest Hour, chez Verve (490 667-2)
  • Strike Up the Band, chez Mercury (830 774-2)
  • Genius + Soul = Jazz, avec Ray Charles, chez Rhino (R2 72814)
  • Back on the Block, 1989

Musiques de films

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Prix et distinctions

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Récompenses aux Grammy Awards

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Année Catégorie Nom Type Résultat
1964 Meilleur arrangement orchestral I Can’t Stop Loving You Morceau Vainqueur
1970 Meilleure performance jazz instrumental Walking in Space Morceau Vainqueur
1972 Meilleure performance pop instrumental Smackwater Jack Album Vainqueur
1974 Meilleur arrangement instrumental Summer In The City Morceau Vainqueur
1979 Meilleur arrangement instrumental The Wiz Main Title (Overture, Part I) Morceau Vainqueur
1981 Meilleur arrangement instrumental Dinorah, Dinorah Morceau Vainqueur
1982 Meilleure performance R&B The Dude Album Vainqueur
Meilleur arrangement instrumental pour voix Ai No Corrida Morceau Vainqueur
Producteur de l'année Vainqueur
1984 Meilleur album Thriller Album Vainqueur
Meilleur enregistrement Beat It Single Vainqueur
Meilleur album pour enfants E.T. The Extra-Terrestrial Album Vainqueur
Producteur de l'année Vainqueur
1985 Meilleur arrangement instrumental Grace (Gymnastics Theme) Morceau Vainqueur
1986 Meilleur enregistrement de l'année We Are the World Single Vainqueur
1986 Meilleure prestation vocale pop d'un duo ou groupe We Are the World Single Vainqueur
1986 Meilleur clip We Are the World Single Vainqueur
1989 Trusteed Awards Lauréat
1991 Meilleur album de l'année Back on the Block Album Vainqueur
Meilleur arrangement instrumental Birdland Morceau Vainqueur
Meilleure performance jazz-fusion Birdland Morceau Vainqueur
Meilleur arrangement instrumental pour voix The Places You Find Love Morceau Vainqueur
Meilleure performance de rap Back on the Block Morceau Vainqueur
Producteur de l'année Vainqueur
1992 Grammy Legend Award Lauréat
1994 Meilleur ensemble de jazz Miles and Quincy Live at Montreux Album Vainqueur
1996 MusiCares Person of the Year Lauréat
2002 Meilleur album parlé Q: The Autobiography Of Quincy Jones Album Vainqueur
2019 Meilleur film musical Quincy Film Vainqueur

Publications (autobiographie)

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Notes et références

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  1. a et b Prononciation en anglais américain retranscrite selon la norme API.
  2. « Quincy Jones, compositeur, trompettiste et producteur américain, est mort à l’âge de 91 ans », sur Le Monde, (consulté le ).
  3. Soit le deuxième plus grand nombre de récompenses derrière les 31 Grammy Awards de Georg Solti.
  4. Record du nombre de nominations partagé avec Jay-Z.
  5. (en) « Quincy Jones | Artist | GRAMMY.com » Accès libre, sur grammy.com (consulté le )
  6. a et b (en) « Quincy Jones | Biography, Music, & Facts », sur Encyclopedia Britannica (consulté le ).
  7. (en-US) « Jones, Quincy (b. 1933) », sur historylink.org (consulté le ).
  8. Encyclopædia Universalis, « Quincy Jones », sur Encyclopædia Universalis (consulté le ).
  9. (en-US) « Quincy Jones », sur encyclopedia.com (consulté le ).
  10. (en-US) « Quincy Jones », sur Biography (consulté le ).
  11. 17 dollars la soirée selon ses mémoires.
  12. (en-US) « Quincy Jones's Biography », sur The HistoryMakers (consulté le ).
  13. AKG - Quincy Jones.
  14. Pierre Stemmelin, « Test AKG Q701 : un casque ultra audiophile signé Quincy Jones », sur ON-mag.fr, (consulté le ).
  15. La gamme Quincy Jones.
  16. (en-US) « Qwest TV by Quincy Jones », sur Qwest.
  17. « Qwest TV : quand le jazz veut aussi son Netflix », sur lesechos.fr (consulté le ).
  18. (en-GB) « Jolie Jones, daughter of Quincy Jones – Interview with Professor Olle Johansson – Radiation Research » (consulté le ).
  19. (en) « Jeri Caldwell - IMDb », sur IMDb (consulté le ).
  20. a b c et d (en-US) « Quincy Jones », sur nndb.com (consulté le ).
  21. (en-US) « Quincy Jones's life in pics | Gallery », sur Wonderwall.com, (consulté le ).
  22. (en-GB) Corinne Sullivan, « Carol Reynolds », sur POPSUGAR Celebrity UK, (consulté le ).
  23. Daily, « Still got his mojo! Quincy Jones, 79, enjoys the company of a new girlfriend half his age as he holidays in St Tropez », sur Mail Online, (consulté le ).
  24. (en) « Ulla Andersson », sur IMDb (consulté le ).
  25. (en) « Meet Quincy Delight Jones III », sur Scandinavian Traveler (consulté le ).
  26. (en) « Quincy Jones remembers ex-wife Peggy Lipton in touching tribute: 'Love is eternal' », sur EW.com (consulté le ).
  27. (en-US) « Actress Peggy Lipton, star of ‘The Mod Squad’ and ‘Twin Peaks,’ dies at 72 », sur Los Angeles Times, (consulté le ).
  28. (en-US) « Kenya Kinski-Jones Gives a Master Class in Minimalism », sur C Magazine, (consulté le ).
  29. « Mort de Quincy Jones : les causes de son décès sont révélées », sur Free, (consulté le ).
  30. Lolita Mang, « Quincy Jones, icône de la musique, nous a quittés à 91 ans », sur Vogue France, (consulté le ).
  31. QUINCY JONES TO BE BURIED AT ICONIC HOLLYWOOD CEMETERY
  32. Concert retransmis sur la chaîne de télévision Mezzo le .
  33. Florian Masut, « M. Jackson effacé des affiches », sur rtbf.be, (consulté le ).
  34. (ja) 前島秀国, « 日本大百科全書(ニッポニカ) 「久石譲」 » [« Encyclopedia Nipponica — Joe Hisaishi »], sur Kotobank (consulté le ) : « ペンネームの久石譲はクインシー・ジョーンズに漢字をあてはめたもの。 (« Le nom de plume 久石譲, est une adaptation de Quincy Jones en kanji. ») »
  35. De l'album Big Band Bossa Nova (1962).
    Ce générique est repris dans les deux épisodes suivants : Austin Powers 2 : L'Espion qui m'a tirée (1999) et Austin Powers dans Goldmember (2002), où Quincy Jones fait une brève apparition dans son propre rôle.
  36. (en-US) « Quincy Jones », sur Hollywood Walk of Fame, (consulté le ).
  37. (en) « Quincy Jones », sur latimes.com (consulté le ).
  38. (en-US) « Quincy Jones », sur Polar Music Prize (consulté le ).
  39. (en-US) « The 67th Academy Awards Memorable Moments », sur Oscars.org | Academy of Motion Picture Arts and Sciences, (consulté le ).
  40. (en-US) « Quincy Jones », sur National Endowment for the Humanities (NEH) (consulté le ).
  41. (en-GB) « Quincy Jones gets French honour », BBC News,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  42. (en-US) « Marian Anderson Award ».
  43. (en-US) « Marian Anderson Award ».
  44. (en-US) Bill Gelman, « Another high note for Marian », sur South Philly Review, (consulté le ).
  45. (en-US) « Quincy Jones », sur American Academy of Arts & Sciences (consulté le ).
  46. lefigaro fr avec AFP, « Quincy Jones honoré par la France », sur Le Figaro.fr, (consulté le ).
  47. Le 7 octobre 2014 à 07h00, « Jack Lang décore Quincy Jones », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  48. Le Monde avec AFP, « Quincy Jones a reçu un Oscar honorifique à titre posthume pour l’ensemble de sa carrière », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le )
  49. La Provence (avec AFP), « Quincy Jones récompensé par un Oscar posthume », sur La Provence, (consulté le )

Bibliographie

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  • (en-US) David Marchese, « In Conversation: Quincy Jones The music legend on the secret Michael Jackson, his relationship with the Trumps, and the problem with modern pop », Vulture,‎ (lire en ligne).
  • (en-US) « Quincy Jones », sur Channel YouTube Quincy Jones productions

Liens externes

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Licensed under CC BY-SA 3.0 | Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Quincy_Jones
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