Installé à Cambridge vers 1480, diplômé en 1492. il maîtrise aussi bien le grec que l'hébreu[4] et annote la plupart de ces ouvrages, y compris ceux dont il n'est pas propriétaire[5], traduisant probablement dans cette habitude une soif de transmettre une connaissance. Il emprunte même certains ouvrages sans jamais les restituer. Selon David Knowles, les contemporains lui doivent ainsi la connaissance du Nouveau Testament Grec(en)[4].
↑ a et b(en) Louis Francis Salzman(en), Friaries: Franciscans, Cambridge, A History of the County of Cambridge and the Isle of Ely, vol. 2, L.F. Salzman, (lire en ligne), p. 276-282
↑ a et b(en) Silva Lake, Family 13 (the Ferrar group): the text according to Mark with a collation of Codex 28 of the Gospels, Christophers (no 11e à 13e), , 161 p., p. 13.
↑ ab et c(en) David Knowles, The Religious Orders in England : The Tudor Age Religious Orders in England, vol. 3, Cambridge University Press, (ISBN9780521295680), « The Friars in the Early Sisteenth Century », p. 53
↑(en) Walter Duffy, The Grey Friars in Cambridge, CUP Archive, , p. 121
↑lequel avait été rédigé par le dénommé Émmanuel de Constantinople (probablement à Cambridge après l'an 1472), un scribe grec au service d'un certain George Neville[3].