Par sa population, Sète est la 146e commune de France, établie sur les données de la population légale millésimées 2013 entrant en vigueur le 1er janvier 2016 et la troisième de l'Hérault. Son agglomération, ou unité urbaine est, avec 94 088 habitants en 2021, la troisième du département.
Elle est parfois surnommée la « Venise du Languedoc » pour ses canaux quadrillant le centre-ville, sa situation insulaire entre mer, étang, canaux et graus, agrippée au Mont Saint-Clair et reliée à Marseillan par un long lido, l'ensemble contribuant à faire de Sète une villégiature prisée. Enfin, son port de pêche et ses diverses activités maritimes ont permis à cette ville de prospérer malgré la dure concurrence des autres ports méditerranéens.
Le tableau ci-dessous présente les distances routières en kilomètres (km) entre Sète et les dix plus grandes villes françaises et quelques capitales européennes[3].
En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 661 mm, avec 5,5 jours de précipitations en janvier et 2,5 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 15,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 543,4 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Statistiques 1991-2020 et records SETE (34) - alt : 75m, lat : 43°23'50"N, lon : 3°41'31"E Records établis sur la période du 01-01-1949 au 02-11-2023
l'île singulière en elle-même : le mont Saint-Clair. En contrebas, le canal de La Peyrade jusqu'à Frontignan à l'est, la ville d'origine. Au nord, à l'ouest et sur les versants du mont, les quartiers résidentiels récents ;
à l'est de la ville s'étendent les espaces portuaires de plaisance, de voyage et industriel (voir Port de commerce de Sète).
Un espace protégé est présent sur la commune :
le « Lido de Thau », un terrain acquis par le Conservatoire du Littoral, d'une superficie de 509,3 ha, qui correspond à la première partie du vaste lido de Sète à Marseillan (12 km de long[11],[12]).
la « corniche de Sète », d'une superficie de 13,16 ha, le seul site connu en région Languedoc-Roussillon pour l'habitat d'intérêt communautaire des fourrés halo-nitrophiles ibériques, la corniche accueille plusieurs espèces végétales rares au plan national et même européen[15] ;
les « herbiers de l'étang de Thau », d'une superficie de 8 320 ha, abritant de très vastes herbiers de zostères (Zostera marina et Zostera noltii) en très bon état de conservation[16] ;
l'« étang de Thau et lido de Sète à Agde », d'une superficie de 7 770 ha, un site d'accueil et de repos pour une avifaune migratrice et nicheuse particulièrement riche. L'étang est d'ailleurs un site classé d'importance internationale en ce qui concerne le Flamant rose, c'est également une zone d'hivernage pour le Grèbe à cou noir[17].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Cinq ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensées sur la commune[18] :
Au , Sète est catégorisée centre urbain intermédiaire, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1].
Elle appartient à l'unité urbaine de Sète[Note 4], une agglomération intra-départementale regroupant sept communes, dont elle est ville-centre[Note 5],[I 2],[I 3]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Sète, dont elle est la commune-centre[Note 6],[I 3]. Cette aire, qui regroupe 1 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 4],[I 5].
La commune, bordée par la mer Méditerranée, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[25]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[26].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (32,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (31,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
eaux maritimes (40,7 %), zones urbanisées (21,3 %), zones humides côtières (10,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (10,5 %), cultures permanentes (10,1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (4,1 %), zones agricoles hétérogènes (2,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,6 %)[27]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Situé au nord-ouest, le quartier prioritaire de l'Île de Thau est également concerné par un programme de rénovation de l'Anru. Celui-ci compte près de 3 500 habitants en 2018, pour un taux de pauvreté de 67 %, l'un des plus importants en France[29].
Sète est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 7],[32].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 12,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 5 559 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 3 115 sont en aléa moyen ou fort, soit 56 %, à comparer aux 85 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[33],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[34].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1997, 1999, 2003, 2013 et 2019.
La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO[35].
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[36].
Sète est connue depuis l'Antiquité, attestée sous les formes τό Σίτιον όρος (To Sition oros) au Ier siècle[37],[38], Sêtion oros au IIe siècle[39],[38], sous la forme latine Setius mons au IVe siècle[40],[38], du nom de la montagne à laquelle est adossée la ville[41]. Setius a plus tard été remplacé par l'occitan seto, « chaussée qui subdivise les canaux qui forment les bordigues »[38].
Le nom de Sète ne s'est stabilisé qu'en 1928. Au Moyen Âge, il a pris les formes De Ceta, Seta, ou Cetia. Ce nom viendrait d'un terme pré-indo-européenset qui désigne une montagne[42]. Il a été assimilé au latin cetus (du grec kêtos), baleine, ce qui explique la présence de l'animal dans les armes de la ville[Note 8]. La ville fut à un moment appelée Montmorencette après l’édification d’un fort sur le mont par le duc de Montmorency[43]. Sète est située au débouché du canal du Midi sur la Méditerranée. Sète avait une grande importance stratégique pour Louis XIV, qui a voulu en faire un port fortifié face aux attaques anglaises de l'époque.
Avant 1666, le futur port de Sète se trouvait sur le territoire de la commune de Frontignan, le mont Saint-Clair faisait partie du diocèse de Montpellier jusqu'au bas de la colline. En 1666, sous le règne de Louis XIV, commence l’édification du port par Pierre-Paul Riquet de Bonrepos, créateur du canal du Midi.
Au début du XVIIIe siècle, l’écriture officielle devient Cette, ce qui n’empêche pourtant pas les auteurs d’utiliser des orthographes différentes, Sète mais aussi Sette[44]. Le , le conseil municipal décide que Cette « équivoque le pronom » et que la ville s’orthographiera Sète. Mais quelques années plus tard, Cette réapparaît[45], et ce jusqu’en 1927. Le de cette même année, le conseil municipal, présidé par le maire de l’époque, Honoré Euzet, s’appuie sur les arguments avancés en 1793 pour solliciter le changement de nom auprès des pouvoirs publics, une demande satisfaite par un décret en date du .
À la suite du changement de l'orthographe du nom de la commune, le gentilé « Cettois, Cettoise », utilisé notamment dans le titre d'un quotidien local Le Nouveau Cettois entre 1878 et 1880[46], est devenu « Sétois, Sétoise »[47].
Sète est surnommée « l'île singulière » ou encore « l'île bleue »[44]:11.
En 1596, Henri de Montmorency, gouverneur du Languedoc, choisit le cap de Sète pour établir un port. Les travaux sont confiés à Jean Donnat et sont ordonnés par Pierre d'Augier, prévôt (Ancien Régime) général du Languedoc. Faute d'argent, ils sont arrêtés en 1605.
En 1663, le Golfe du Lion abrite un port français à Marseille. Le chevalier de Clerville, ingénieur du roi, est missionné par Jean-Baptiste Colbert, de prospecter la côte languedocienne afin de sélectionner un lieu pour en faire un port. Après une étude de faisabilité, l'ingénieur choisit un promontoire sauvage au bout d’une bande de terre, à la sortie de l’étang de Thau. Pour célébrer l'importance de ce choix, le , MgrFrançois du Bosquet, évêque de Montpellier, célèbre une messe et une cérémonie de bénédiction pour l’enchâssement de la première pierre destinée à être au bout du môle Saint-Louis encore inachevé[49].
30 septembre 1673 : Fondation de la ville actée par acte officiel[50]
Lors de la Révolution française, les citoyens de la commune se réunissent au sein de la société révolutionnaire, baptisée « société des amis de la constitution et de l’égalité » le . Après la chute de la monarchie, elle se rebaptise « société des amis de la liberté et de l’égalité », puis « société des Jacobins amis de la constitution populaire de 1793 »[51].
Le labour s'intensifie dans le bassin versant, alors que les défrichements un temps freinés par Colbert ont repris de plus belle après la Révolution française et l'abolition des privilèges. Ceci favorise l'érosion des sols et les eaux du bassin versant deviennent de plus en plus turbides. Elles charrient des alluvions qui viennent colmater le port.
« Les côtes de ce département sont plus exposées aux atterrissements… Les ports de Maguelone et d'Aigues Mortes et le vieux port de Cette n'ont plus d'existence que dans l'histoire » alerte-t-il. « Un désir immodéré de recueillir a multiplié ces défrichements depuis 1790… L'avidité de jouir a dévoré en peu d'années la ressource de l'avenir ; les montagnes, ouvertes par la charrue, n'ont montré bientôt qu'un roc nu et stérile ; chaque sillon est devenu un ravin ; la terre végétale, entraînée par les orages, a été portée dans les rivières, et de là dans les parties inférieures, où elle sert chaque jour à l'atterrissement des parties les plus basses et les plus marécageuses. »
- : tentatives britanniques d'incendier la ville.
Chronologie des principaux événements survenus au XIXe siècle
: naissance de Jean Rodor, parolier et chanteur sètois. Il écrivit notamment les paroles de chansons composées par Vincent Scotto : Sous les ponts de Paris (1913), La Vipère (1921), Ramuntcho (1944), etc., ainsi que l'adaptation française de Reginella. Mort en 1967 à Paris.
: déclassement du fort Saint-Louis du tableau des places fortes[53].
1882-1888 : grands travaux dans le port.
1886 : naissance du compositeur Louis Izoird, à Sète. Il est l'auteur de la musique de La Caissière du Grand Café (1914), Suzon la blanchisseuse et La Rue de la manutention (1919). Il écrivit en collaboration avec le Sétois Jean Rodor Allons-y doucement (1912) et Le Légionnaire (1911). En 1932 devient sociétaire de la SACEM et meurt à Paris en 1974.
: naissance de Emmanuel Gambardella, journaliste sportif sétois qui devint dirigeant de football. Il meurt le à Montpellier, et est inhumé au cimetière marin de Sète.
1894 : Sante Geronimo Caserio, anarchiste lombard, apprenti boulanger à Sète, poignarde mortellement le président de la République française Sadi Carnot le à Lyon.
1895 : inauguration du collège de garçons, futur lycée Paul-Valéry.
Le à Brest, plus de 20 000 personnes assistent sur la place Fautras à la quadruple exécution par guillotine de quatre marins (Pierre-Louis Oillic, Lénard, Thépaut et Carbucci) qui faisaient partie de l’équipage mutiné du Fœderis Arca, un trois-mâts barque parti de Sète à destination de Veracruz chargé de vin et d’alcool destiné aux officiers de l’expédition française au Mexique. Ils avaient été condamnés à mort par le tribunal maritime de Brest le pour avoir assassiné le capitaine Richebourg, son second Théodore Aubert ainsi que le mousse âgé de 11 ans pendant leur mutinerie le avant de couler leur navire dans l’Océan Atlantique et de prendre place dans une chaloupe de sauvetage où ils avaient été recueillis en se disant victimes d’un naufrage. Quatre autres marins du même équipage mutiné furent acquittés pour deux d’entre eux ou condamnés à des peines plus légères pour les deux autres[54].
: le paquebot Président-Warfield appareille au port de Sète en direction de la Palestine avec 4 530 juifs réfugiés survivants de la Shoah. Le commissaire spécial du port de Sète, M. Leboutet, autorise le jeune capitaine Ike Aronowicz (Yitzhak Ahronovitch, mort le à Hadera, dans le nord d'Israël), à appareiller vers la Colombie. Après 5 jours de navigation et hors des eaux territoriales françaises, le Président-Warfield prend le nom d’Exodus 1947 et prend le cap vers la Palestine ; à 27 kilomètres des côtes, 5 torpilleurs de l'armée britannique arraisonnent le navire ; 75 passagers épuisés acceptent l'asile proposé par la France et les autres sont conduits au port de Hambourg via Gibraltar.
2004 : lancement du plan de sauvegarde de la plage du Lido, afin de stabiliser le littoral face à l'érosion, la route qui relie Sète à Marseillan ne longe plus la mer. Le chantier de développement durable de protection de la côte et de la plage qui sépare la mer de l'étang de Thau s'est déroulé jusqu'en 2013. L'Europe a participé au financement de ce plan puisqu'un Fonds européen de développement régional (FEDER) de l'Union Européenne a été obtenu d'un montant de 9 M€ pour un montant total de travaux de 53 M€.
2005 : début des travaux d'un nouveau quartier : Villeroy.
: la région Languedoc-Roussillon assure la gestion du port de Sète-Frontignan.
La commune de Sète était divisée en deux cantons avant 2015, Sète-1 et Sète-2. À compter de cette date, elle ne comporte plus qu'un seul canton englobant toute la ville.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[72],[Note 10].
En 2021, la commune comptait 44 712 habitants[Note 11], en évolution de +2,5 % par rapport à 2015 (Hérault : +7,29 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
En 1703, à l'occasion de la consécration de l'église Saint-Louis, Louis IX, saint patron du port, devient également saint patron de la ville. Depuis, Sète lui rend hommage chaque année, le 25 août, sauf période de conflit.
Du 22 au , la ville de Sète a accueilli le congrès annuel inter-associatif de l'espéranto en France.
Chaque année entre les week-ends de l'ascension et de la pentecôte, le festival ImageSingulières invite, anime et partage la « Photographie de style documentaire ». Ce nouveau rendez-vous de la photographie contemporaine, porté par l'association professionnelle CéTàVOIR, œuvre pour l'échange entre un programme culturel singulier, et le regard pluriel d'un public éclectique.
Du au , l'association Métisète présente, comme tous les ans à la même période, son festival de musique du monde, Fiest'A Sète, sur Sète et ses environs.
Au mois de juillet, se déroule chaque année le festival de poésie méditerranéenne « Voix Vives » ainsi que le festival Jazz à Sète.
Joute nautique : la joute nautique est « le » sport sétois par excellence. Ce sport est pratiqué à Sète depuis l'inauguration du port en 1666. La ville compte sept sociétés de joutes plus une société-école, cas unique en France.
Joutes de la Saint-Louis en 2006.
Joutes de la Saint-Louis en 2005.
Joutes de la Saint-Louis en 2005.
Joutes de la Saint-Louis en 2005.
Grand Prix de la Saint-Louis : le plus prestigieux tournoi de joutes nautiques. Cette compétition existe depuis 1743 et la 271e édition s'est tenue du 21 au le long du canal royal. La finale de l'épreuve reine, les poids lourds, s'est tenue le 25 août et le vainqueur fut, pour la 1re fois, Benjamin Arnau de Sète, le recordman vivant de l'épreuve est le Sétois Aurélien Evangélisti avec 7 victoires.[réf. nécessaire]
Association Cettarames : Le premier club de la ligue Languedoc-Roussillon. Création de Settarames en 1995.
Kitesurf : le « Thau Kiteboard Club », affilié à la Fédération française de vol libre (FFVL), est basé à Sète et tente d'y promouvoir la pratique du kitesurf. Les spots se situent sur le quartier dit « du Pont levis » pour la navigation sur l'étang de Thau, et en mer, aux Trois Digues. Une épreuve du championnat de France de kitesurf longue distance est organisée au mois de : le trophée Saint-Clair[83].
Boule moderne : club de boule jeux lyonnais (boules lyonnaises) fondé en 1923.
Rugby : le Rugby Club Sète évolue en Promotion d'Honneur. Le club a été vice-champion du Languedoc 3e série en 2013/14 ; Champion du Languedoc 1re série 2015/16 ; Champion du Languedoc Promotion d'Honneur 2016/17 et Champion du Languedoc Honneur 2017/18[réf. nécessaire].
Voile : Originairement Voile à Sète, le club ancien se scinde entre la Société Nautique de Sète, qui navigue en mer, sur la base Eric Tabarly et le club Voile Fun Sète, qui navigue sur l'étang de Thau, à la base nautique Mialle et Munoz.
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 24 340 personnes, parmi lesquelles on compte 65,8 % d'actifs (51,8 % ayant un emploi et 14 % de chômeurs) et 34,2 % d'inactifs[Note 14],[I 8]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.
Sur ces 12 908 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 8 939 travaillent dans la commune, soit 69 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 64,3 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 9,1 % les transports en commun, 22 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].
5 027 établissements[Note 15] sont implantés à Sète au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 16],[I 15].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
5 027
100 %
(100 %)
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
282
5,6 %
(6,7 %)
Construction
552
11 %
(14,1 %)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
1 791
35,6 %
(28 %)
Information et communication
112
2,2 %
(3,3 %)
Activités financières et d'assurance
172
3,4 %
(3,2 %)
Activités immobilières
299
5,9 %
(5,3 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
680
13,5 %
(17,1 %)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
722
14,4 %
(14,2 %)
Autres activités de services
417
8,3 %
(8,1 %)
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 35,6 % du nombre total d'établissements de la commune (1791 sur les 5027 entreprises implantées à Sète), contre 28 % au niveau départemental[I 16].
La région Languedoc-Roussillon est propriétaire des installations portuaires de Sète-Frontignan depuis le . Elle assure, à ce titre, les fonctions d'autorité portuaire et d'autorité concédante. En effet, Sète est un point stratégique pour le développement du commerce en Méditerranée, voire le commerce international. Ce projet d'aménagement du port de commerce est un véritable générateur d'emplois et de dynamisme économique pour la région.
Dans le port
Une partie des quais du port de commerce en 2006 (avant démolition des silos et réaménagement de la zone pour accueillir ferries et paquebots).
Le Stéphane Cardone sur le môle (Brise-lames) Saint-Louis à Sète. .
Le Fantastic, navire construit en 1996, faisant escale à Sète. .
Le Viking Sky et le GNV Cristal en escale à Sète. .
Le Viking Sky. .
Le Nao Victoria (voir Victoria (bateau)) accosté au quai de la République à Sète. .
Sur la gauche le navire Odeep One, au fond à droite le phare du môle Saint-Louis. Vue depuis l'extrémité sud du quai de la République à Sète, France. .
Le quai de la République à Sète. .
Depuis le , la chambre de commerce et d'industrie de Sète-Frontignan-Mèze n'assure plus l'exploitation du port (commerce et pêche). En effet, la région Languedoc-Roussillon a décidé de gérer seule le port à travers un établissement public régional dénommé Sète Port Sud de France, à la suite de l'échec des négociations avec la chambre de commerce et d'industrie de Sète-Frontignan-Mèze, sur la constitution d'une société portuaire.
Le port de Sète est au 11e rang des ports français avec 3,6 millions de tonnes traitées en 2005. Le port dispose également de trafic important de ferrys avec les pays d'Afrique du Nord et notamment le Maroc (Tanger et Nador).
En 2010, le port de Sète a progressé dans tous les domaines et s'affirme comme une plateforme très performante au niveau national. Avec 3,4 millions de tonnes, le trafic est en hausse de 16 % par rapport à 2009. Les marchandises diverses augmentent de 45 %, les vrac liquides de 13 % et les vrac solides de 10 %. Avec un trafic régulier, le port accueille parfois des navires dans un état peu reluisant, comme c'est le cas par exemple pour le Rio Tagus, retenu à quai depuis des années[85].
C'est aussi le premier port de pêche français en Méditerranée (au niveau national, c'est Boulogne-sur-Mer).
Depuis le , le port des Eaux-Blanches a été créé sur le canal du Rhône à Sète, à l'embouchure de l'étang de Thau. C'est une alternative au « port à flot » qui permet de répondre à la demande croissante de place de port.
Actuellement, l’aménagement du nouveau terminal à conteneurs est prévue pour 2015 : il est un des éléments « clés » de la stratégie lancée par l’ancien président de la région, Georges Frêche. Le terminal conteneurs du Port de Sète est passé de 6 500 EVP en 2010 à 27 000 EVP en 2011. Il verra sa capacité passer à 200 000 EVP par an vers 2019 grâce à l’aménagement supplémentaire d’un terre-plein de 6 hectares et de l'élargissement en 2015 du quai H à une longueur de 467 m pour 14,5 m de tirant d'eau. Ce projet veut répondre à l’augmentation des flux de trafics conteneurisés et à la position régionale de Sète, pour faire de ce port une porte d’entrée du trafic marchand de l’Europe occidentale. Mais pour cela Sète doit répondre aux différentes exigences que demande cette ouverture aux trafics européens et internationaux.
Le port s'est équipé en 2011 d'un deuxième portique de déchargement sur le quai à conteneurs (quai E). Ce portique over panamax de 60 tonnes permet d’optimiser les escales des armateurs sur le port. Cette première étape lancée par la région se veut rassurante et dynamique et devrait aboutir en 2015 à l’achat, par un investisseur privé, de deux autres portiques qui seront disposés sur le nouveau terminal à conteneurs (quai H).
Un autre projet, en lien avec le développement du terminal à conteneurs, est la base arrière de logistique à Poussan (ville proche de l'autoroute A9). Cette structure permettra de conditionner les produits réceptionnés des armateurs nationaux et internationaux dans des délais rapides.
Enfin un dernier projet, toujours en rapport avec le terminal à conteneurs, est le développement et la modernisation du canal du Rhône pour accroître le transport par voie fluviale. Ce projet s'inscrit dans une politique de développement durable en lien avec l'aménagement du territoire de la région Languedoc-Roussillon.
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Au XIXe siècle, la pratique médicale des bains de mer a suscité la construction de deux établissements, l'établissement « hinschien », animé par Coraly Hinsch-Armengaud en 1847[89], et le Lazaret, créé par l'Église réformée de Sète, en 1865 et devenu un centre de vacances[90]. Le Lazaret, toujours en activité, accueille un tourisme familial[91].
Chapelle Notre-Dame-de-la-Salette, chemin de Saint-Clair.
Chapelle de l'ancien couvent des Carmes, rue Prévôt-d'Augier, détruit en 2020, la façade de l'ancien couvent sera reconstituée et replacée à l'intérieur des futurs Jardins du Carmel.
Sète est une ville très touristique, notamment durant la période estivale. L'office de tourisme de Sète fait partie, depuis 2006, des établissements classés « 4 étoiles ».
Théâtre Molière - Scène nationale de Sète et du bassin de Thau[92], théâtre à l'italienne début XXe siècle, sur le modèle de l'opéra-comédie de Montpellier ; décors peints de scènes de la vie portuaire du foyer ; important lustre dans la grande salle, etc.
Le palais consulaire, de style Art déco, est surmonté à son angle d'une originale tour de l'horloge-campanile. Belle ferronnerie de la porte d'entrée.
Nombreuses façades haussmanniennes richement décorées (1860-1920).
Anciens entrepôts Dubonnet (1924) le long du canal. Inscrits MH depuis 2008, rare vestige architectural de l'important trafic vinicole qui anima le port de Sète aux XIXe et XXe siècles
Les anciens chais sont organisés autour d'une grande halle étoilée sur plan carré.
Le canal royal.
Le mont Saint-Clair, qui offre un large panorama depuis son nouveau belvédère, avec à proximité :
La chapelle Notre-Dame-de-la-Salette (1861), décorée de nombreuses fresques, dont certains murs intérieurs comportent encore d'anciens ex-voto ;
Valentine Schlegel (1925-2021), née à Sète, céramiste, conceptrice de cheminées, pédagogue, directrice artistique de La Pointe courte, film d'Agnès Varda.
Agnès Varda (1928-2019), cinéaste, réfugiée à Sète en 1940-1944, réalisatrice en 1955 du film La Pointe courte, tourné dans le quartier de pêcheurs du même nom.
Laurent Vidal, triathlète, triple champion de France, sélectionné aux Jeux olympiques de Pékin (2008) et de Londres (2012) où il se classe 5e, né à Sète.
1974 : À vous de jouer Milord, Feuilleton de 6 épisodes de 60 minutes de Christian-Jaque, d'après une idée de Jacques Rigault, avec Henri Piegay et Patrick Préjean (diffusion sur la première chaîne en novembre et ), en partie tourné à Sète.
depuis 2020, la nouvelle série ASKIP, le collège se la raconte diffusée à partir du dimanche sur France 4 à 11 h 30 (de Benoît Masocco). Elle est tournée à Sète.
Les joutes nautiques sont nées avec la création du port, le . Il s'agit d'une vieille tradition maritime qui a ses codes, son vocabulaire propre, ses rituels, sa musique[104].
Les joutes ont lieu chaque année à la fin août, à l'occasion des fêtes de la Saint Louis. Elles embrasent la ville et Sète vibre avec les chevaliers du canal au son des tambours et des hautbois. Forte de plus de 350 ans d’existence, cette fête traditionnelle à la gloire de Louis XIV, fondateur de la ville, et des joutes nautiques languedociennes, rassemble des dizaines de milliers d’aficionados autour du cadre royal. Fidèles au même protocole depuis des siècles – valse des barques, défilés, habits traditionnels – toutes les générations s’affrontent dans le cadre royal, jusqu’au point d’orgue du lundi : le tournoi des poids lourds où est couronné le suprême vainqueur de la Saint-Louis[105].
Les armoiries de Sète se blasonnent ainsi : D'azur semé de fleurs de lys d'or à la baleine renversée de sable allumée d'argent, lançant un jet d'obus aussi d'or chargé de trois grenades aussi de sable enflammées de gueules.
↑Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[13].
↑Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
↑Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Sète, il y a deux villes-centres (Frontignan et Sète) et cinq communes de banlieue.
↑Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
↑Il se dit que la forme qu'a le mont Saint-Clair vu des villes alentour, ferait penser à une baleine surplombant la mer.
↑« La petite presqu'île Où jadis bien tranquille Moi je suis né natif Soit dit sans couillonnade Avait le nom d'un ad- -jectif démonstratif […] Mais voyant d’ l'infamie Dans cette homonymie Des bougres s'en sont plaints Tellement que bientôt On a changé l'ortho- -graph' du nom du pat'lin […] ».
↑Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
↑La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
↑Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
↑L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
↑Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
↑Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[87]
↑« Via Michelin Itinéraires », sur viamichelin.fr (consulté le ), "itinéraires conseillés par Michelin"
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (ISSN1278-3366, DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑Rapport cité par Antoine César Becquerel en 1865 dans Antoine César, M. Becquerel, Mémoire sur les forêts et leur influence climatérique, (lire en ligne), p. 54.
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↑Lénaïg Gravis, Les Grandes Affaires criminelles du Finistère, De Borée éditions, 2008 (ISBN978-2-84494-808-3).
↑Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[86].
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