Réalisation | Lorcan Finnegan |
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Scénario | Thomas Martin |
Musique | François Tétaz |
Sociétés de production |
Tea Shop Productions Arenamedia Lovely Productions Gramercy Park Media |
Pays de production |
Australie Irlande |
Genre | thriller |
Sortie | 2024 |
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.
The Surfer est un film australo-irlandais réalisé par Lorcan Finnegan et sorti en 2024.
Le film est présenté en hors compétition en séance de minuit au festival de Cannes 2024.
Accompagné de son fils adolescent, un père divorcé revient sur la plage d'Australie-Occidentale où il se rendait enfant pour surfer. Il souhaite lui montrer ses lieux et envisage de racheter l'ancienne maison de son grand-père. Mais les souvenirs et la nostalgie sont gâchés par un groupe d'autres surfeurs dirigé par Scally. Ils leur interdissent l'accès à la fameuse plage et s'amusent à provoquer le père. Bien décidé à ne pas renoncer, ce dernier va devoir les affronter pour pouvoir y accéder tout en regagnant l'estime de son fils[1],[2].
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La présence de Nicolas Cage est annoncée en mai 2023 dans le film[5]. Coproduction australo-irlandaise, il est produit par Tea Shop Productions, Arenamedia, Lovely Productions et Gramercy Park Media, avec le soutien du programme gouvernemental australien Screenwest (en)[6].
En octobre et novembre 2023, Nicolas Cage tourne des scènes à Yallingup en Australie-Occidentale[7],[8],[9]. Les prises de vues ont également lieu à Margaret River, Busselton et Perth[10]. Le tournage s'achève en décembre 2023[6].
Le film est présenté en hors compétition en séance de minuit au festival de Cannes 2024[1]. Durant cette séance, la séquence du rat provoque des rires dans la salle. À la fin de la projection, après une standing ovation de près de 6 minutes, Nicolas Cage, très touché, prend le micro et hurle « Mangez le rat !!! Manger le rat ! », en référence à cette séquence, sous les acclamations du public[11].
Dans Télérama, The Surfer obtient la note de TT ("Bien"). Jérémie Couston écrit notamment « Avec ses cadrages audacieux, ces gros plans sur la faune et la flore – elles aussi comme liguées contre le héros –, ses flous psychédéliques et son humour désespérément noir, la mise en scène de Lorcan Finnegan lorgne ostensiblement cette bonne vieille série B des seventies[2]. » Josh Slater-Williams du site américain IndieWire lui donne un B-[12]. Xan Brooks de The Guardian lui donne 4 étoiles sur 5[13].