Vango Romano : Il a 19 ans au début du roman. Poursuivi pour un crime qu'il n'a pas commis, il est obligé de s'échapper. Police française, trafiquant d’arme, espions russes..., tous le cherchent. Mais Vango ne sait rien de lui. Qui est-il ? D'où vient-il ?
Hugo Eckener : à la tête de l'entreprise de dirigeables Zeppelin, il réalise le premier et seul tour du monde en Zeppelin de l'histoire. Il est profondément anti-nazi. Ce personnage a vraiment existé et a joué à peu près le même rôle dans la réalité.
Ethel : Jeune écossaise amoureuse de Vango depuis le tour du monde en Zeppelin durant lequel ils se sont rencontrés, cinq ans avant le début de l'intrigue. Elle tente de le retrouver et de le sauver. Son frère, Paul est officier aviateur dans l’armée de l’air britannique. Leurs parents sont morts dans un avion lorsqu'ils étaient jeunes, ce qui fait d'eux des héritiers d'un château et d'une grande fortune.
La Taupe : jeune adolescente bourgeoise juive. Elle passe sa vie sur les toits de Paris, en raison de sa claustrophobie. Ses parents sont très peu présents, et l'ignorent depuis toute petite. Elle a rencontré Vango une nuit sur la tour Eiffel.
Avignon : policier adjoint du commissaire Boulard, il est en vérité espion pour le compte de Voloï Viktor.
Voloï Viktor/Mme Victoria : trafiquant d'armes recherché par toutes les polices du monde, il change très souvent de nom et est très influent. Il traque impitoyablement le monastère de Zefiro, la seule personne à l’avoir trahi.
Le père Jean: Mentor de Vango, supérieur du séminaire des Carmes. Il meurt la veille de l'ordination sacerdotale de Vango qui est accusé de l'avoir tué.
le Père Zefiro : Prêtre médecin sur les champs de bataille de 1914, il rencontre un Allemand, un Anglais et un Italien. Le "Groupe Violette" oeuvrant pour la paix, est né. Plus tard, devenu confesseur du grand trafiquant d’arme Voloï Viktor, il donne des indications pour sa capture à la police française. La capture échoue, Voloï s’enfuit et met à prix la tête de Zefiro. Mais Zefiro est loin, il a fondé un monastère, quelque part, invisible au monde, qui recueille des hommes comme lui, qui pour rester en vie, ont fait croire à leur mort.
« Assurément le meilleur de ce qui s'écrit aujourd'hui pour la jeunesse et pour tous les âges. » (Le Figaro littéraire, )[1]
« Tout le plaisir est là, dans cette effervescence d'un récit minutieusement bâti, pièce après pièce, dans cette énergie d'une plume aussi claire que vive, cette générosité de l'imagination, ce bonheur évident de raconter. » (Télérama)[2]
« Une aventure trépidante qui séduira autant les ados que les parents. » (France Soir)